Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 12:46

 

 

 

 

 

Ensuite le gérant me dit que j’allais continuer à faire la série de chambres de l’étage. Il me rappela d’être très obéissante envers les clients. Il m’ordonna alors de mettre les habits qui se trouvaient dans l’armoire. : chemisier cache cœur transparent, jupe mini noire en cuir. Il y avait aussi un collier clouté avec une laisse. Je dus également remettre mes bas et mes chaussures à talons hauts. Je passais ainsi de chambre en chambre pendant les trois heures qui suivirent. Un autre client pris les photos que je vous offre ci-dessous.

Ma tenue :

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Il me fit également jouer avec un gode après m’avoir posé des pinces à ressort acier sur les pointes de mes seins.

 

 

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La aussi le gérant nous rejoignis …

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Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr - Communauté : Nadine LASPE bourgeoise soumise
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Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 12:23

Jacques avait poussé fortement Nadine à répondre à cette annonce...

« RP. Cherche à louer femme soumise, obéissante, sans tabous pour période de travail comme femme de ménage pour entretien des chambres d’hôtel. Contrat dès l’embauche. Période d’essai indispensable »  

 

Après m’être présentée au gérant, je signais mon contrat. Il précisait la  tenue de travil, ainsi que les taches à accomplir . Je fis son apprentissage dès le lendemain matin.

La tenue consistait en un tablier blanc de soubrette que je devais porter sur un corset noir. Bas et chaussures à talons aiguilles complétaient l’uniforme. Je devais faire les chambres d’un étage de l’hôtel, étage réservé à des clients triés par le patron. Le contrat précisait également que je ne pouvais rien refuser à la clientèle et que je devais être à leur entière disposition.

Ces quelques images qu’un des clients de l’hôtel a prise lors du ménage de sa chambre …

La tenue de travail :

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A ce moment le gérant entra dans la chambre et me dit de continuer à travailler. Je rangeais l’armoire…

   

 Je recus ensuite l’ordre de me présenter. Je dus me mettre face à eux installés dans des fauteuils, relever mon tablier pendant que je répondais à leurs questions.  

 Je déclinais mon identité, ma situation de soumise, le contrat de l’hotel. Je dus ensuite prendre plusieurs poses pour leur offrir mes différents orifices.

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  Ensuite ils me firent prendre un gode dans un des tiroirs de l’armoire et je dus leur montrer comment je m’enfilais le gode en vaginal et en anal.

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 Le gérant discutait de moi avec le client. Il me dit finalement qu’il était satisfait de mon obéissance. Mais qu’il devait me faite passer un dernier test. Ils me firent mettre totalement nue et je dus les rejoindre sur le lit que je venais de faire quelques minutes plus tôt. Ils me baisèrent et m’enculèrent tour à tour.

 

 

A suivre...

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Jeudi 16 août 4 16 /08 /Août 22:13

Désormais voici ce que peuvent voir toutes les personnes entrant chez moi.

 Avec obéissance et soumission.

Nadine

 

 

 

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Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr - Communauté : Nadine LASPE bourgeoise soumise
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:17

Réflexions d’une femelle bourgeoise et pute pour le plaisir de son Maître…

Si une pute peut parfois choisir ses clients, pas la soumise que je suis. Je me dois être disponible, un point c'est tout. Je fais une totale confiance à mon maitre Jacques qui sait ce qui est bien pour moi et pour son plaisir. Je ne dois plus offrir de barrière à mon intimité. J’ai été dressée à cela. Pour lui. Pour qu’il soit fier de moi. Comme toute soumise, j’ai un devoir d'exhibition. Pour ce je ne cache rien à mon maitre et à ceux a qui il me prête, et en premier lieu mon corps . Je mets mon corps à sa disposition. Il doit pouvoir l'utiliser le plus facilement possible. Mon corps de soumise lui est ainsi entièrement disponible. Il peut porter les ornements ou la marque de mon maitre. Que ce soit un simple parfum, un collier, ou tous autres accoutrements laissés à sa convenance.

C'est aussi le signe de mon dénuement. Je suis toujours nue sous mes vêtements. Je ne porte mes habits que pour le plaisir de mon maitre.  Mes exhibitions demandées par mon Maitre peuvent être publiques.

Je sais que mon maitre n'a qu'un but, repousser mes limites de soumise pour asseoir son pouvoir sur moi. Les pratiques sado-maso sont dans ses habitudes, et mon maitre les utilise comme bon lui semble et n'a aucune justification à donner me donner. Cela fait partie de son plaisir et je dois m'y plier. Ce chemin a été et est toujours long et difficile. L'exhibition est un moyen pour me faire exprimer ma soumission. Des étapes importantes ont été nécessaires  pour que je sache m'exhiber. Je me suis montrée à mon amant, mais bien vite j’ai compris que je devais aller plus loin. Je me suis alors exhibée à sa demande devant des amis, puis le cercle s’est élargi.
Le chemin fut long et difficile qui m’a menée vers la soumission totale.

Toutes les soumises savent que leur corps appartiennent à leurs maîtres C'est un fait établi et reconnu par toutes. Mais il ne suffit pas de le savoir, il faut le faire savoir. Les paroles s'envolent et s'oublient mais les écrits restent. L'un des meilleurs moyens est donc d'écrire à même leur corps ce qu'elles sont inévitablement, un objet de plaisir. Aussi mon Maître m’a-t-il fait poser deux anneaux aux tétons et deux anneaux aux levres du sexe auquels il a fait suspendre une plaque au bout d’une petite chainette. La plaque porte mon nom de soumise ainsi que celui de mon propriétaire et Maitre. Ainsi tout partenaire sait ce que je suis et à qui j’appartiens.
Le libre accès à mon intimité faisant parti de mon engagement, la notification de ce que je suis sur la partie lisse de mon pubis montrera la qualité essentielle d'une bonne soumise, la praticité dans l’utilisation.
Une soumise doit être pratique, facile d'utilisation, c'est même écrit dessus en tatouage ou au fer rouge, comme un boite de conserve sur laquelle est écrit le mode d'emploi
Cela me met au niveau d’un objet de plaisir totalement dévoué à mon maître, et cela sans même devoir le préciser par des paroles superflues.

Me sentir entourée par tant de désirs masculins et m'y prêter docilement fait partie d'une excitation féminine toujours latente. C'est une forme de soumission. Une soumission à mes pulsions, à mon désir sexuel. Nue, tripotée, exhibée, baisée, fouillée de toute part, l'épreuve parait difficile à surmonter mais est indispensable à ma condition de soumise obéissante.

Je sais que le ressort absolu de la soumission est l'humiliation. Aussi, au delà de la douleur, du bondage, de l’immobilisation ou de tout autre jeu BDSM, le gout de l’humiliation, voire de la dégradation de la bourgeoise que je suis, à travers l’acte de pute, est l’essence même de ma soumission.
Je dois aimer m'humilier, gouter au gout amer des vexations, des outrages moraux, et de la honte et boire le calice jusqu'à la lie.
Et quand l'humiliation se fait moins forte, avec l'habitude, je dois trouver d'autres humiliations encore plus amères, encore plus profondes. Mon Maître, pour satisfaire
mon goût de soumission, m’aide à trouver d'autres exercices, d'autres expériences pour humilier à nouveau la soumise que je suis et m'emmener vers ma condition ultime, celle d'esclave. Mais le chemin est sinueux et plein de surprises.

Au fur et à mesure de ma progression dans ma soumission à mon Maître, J’ai du offrir ce qu'il y a de plus intime en moi, l’offrir sans calcul et sans profit. Et ce qu'il y a de plus intime, c'est le baiser. Je m’offre aux baisers les plus profonds de mes partenaires, le plus salé et salivé et m'exposer à l'intrusion ultime d'une langue virile. J’offre la fouille intime, totale et impérieuse car c'est par la bouche que la soumission s'exprime le mieux.

Je me dois de laisser de côté mes propres sentiments et sensations, du moins les taire, pour ne pas perturber le plaisir de mon maître, sauf s’il le désire évidement.
Mais s'il ne le désire pas, je dois être capable de n'être qu'un outil totalement dévoué à l'utilisation de mon maitre. Tout mon être doit être concentré à faire de sa partie soumise un outil acquis à mon maître
En tant que soumise je suis la main ouvrière des envies de mon maître. Même attachée, je n’ai pas le droit à l'oisiveté. Je suis en charge des basses œuvres de la maison et en général de tout ce que mon maître n'a pas s'abaisser à faire.
Je comprends très bien que les plaisirs de la chair me soient refusés, ou du moins entièrement contrôlés et savamment distillés par mon maitre ou sur ses ordres. En tant que soumise je me sens un objet sexuel par excellence.
Je fais un don sans faille de mon corps en faveur de son maître et je m’offre à lui sans retenue, corps et âme, en toute sincérité.
Je dois de me contenter de ma soumission et d'y concentrer toute mon attention sans me préoccuper des conséquences ni de l'environnement. Etant considérée comme un objet, un outil, une extension des envies du maître, mes envies sont partie négligeable face aux envies du maître.

Mon Maître me dit qu’avec une soumise, on peut se permettre de la baiser, purement de la baiser, en ne pensant qu'à son propre désir, que c’est un des rouages essentiel de la soumission. Il ne s'agit pas pour lui de faire l'amour, de mettre un sentiment d'amour dans cet acte. Un Maitre peut très bien même penser à une autre en la baisant. On peut aussi lui faire des choses qu'on n'oserait pas avec une autre personne mais qu'on meurt d'envie de le faire.

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 16:43

Soirée du mardi 26 juin:

 

 

Mardi dernier : difficile d'atteindre mon quota. Seulement 900 euros (10 clients). Baises et sodos avec bien sûr pipes et nettoyage des queues avec ma bouche. Le surveillant est venu me récupérer dans la salle. Il m'a amené dans la chambre m'a enculée. Puis il m'a dit d'enfiler la tenue qu'il avait fait déposer dans la chambre : un soutient gorge garni d'aiguilles cousues entre deux épaisseurs de tissus, pointes vers l'intérieur bien sûr qui entraient profondément dans mes seins gonflés. Le soutient gorge était bien sur très serré et comprimait fortement les aiguilles contre ma chair. Quand je l'ai eu enfilé il a commencé à me peloter sévèrement les seins. Comme pour s'assurer que chaque aiguille avait bien pénétré la chair. Je ressentais une forte douleur généralisée dans les deux mamelles que j'allais offrir au donjon. Il y avait aussi le gros anuspicket, "le petit suisse" que je dus mettre pour le donjon.

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Dessus un corset de cuir qui me serrait extrêmement la taille et faisait ressortir mes fesses de manière éhontée. Je dus ensuite mettre une robe très courte en tulle , tenue uniquement avec une ceinture à la taille. Il accroche une laisse à mon collier de cuir, me mets deux bracelets de cuir qu'il attache derrière ma nuque, passe une barre entre mes coudes et derrière la nuque pour maintenir mes coudes écartés en arrière et ainsi offrir encore plus ma poitrine. Il regardait l'effet produit et se ravise. Il détache la laisse et l'accroche à un anneau du sexe. Il me tire ainsi vers l'étage inférieur ou se trouvent les pièces du donjon. J'entre à sa suite dans une grande pièce dans laquelle je n'avais encore jamais pénétrée

Le mur du fond était couvert de glaces (sans tain???) derrière lesquelles devaient se trouver d'autres personnes qui allaient assister au spectacle que mes bourreaux allaient donner en me torturant. Je sentais que cette soirée allait être particulière. Dans la salle autour de moi se trouvaient divers instruments du type chevalet, croix de St André, roue, chaise sans assise, ...

Il me positionna comme souvent face aux glaces et commença lentement à me dévêtir, défaisant la ceinture de la robe qui tomba aussitôt à terre et laissant mon corps vêtu uniquement de mes bas, du soutient gorge et du corset à la vue de tous.  Il me fit agenouiller et me dit d'attendre, genoux écartés, toujours poitrine tendue par le harnachement de mes bras tendus en arrière.

Quelques minutes plus tard (15 à 20), deux hommes pénètrent dans la pièce dans mon dos. Je les vois dans la glace. Deux mecs grands, portant tous les deux des cagoules noires. Je ne voyais que leurs yeux. Le surveillant entrait avec eux et leur donna à chacun une cravache. Il leur dit "elle est à vous" et il sortit de la pièce.

Ils ont tourné un moment autour de moi, me faisant relever, debout, cuisses ouvertes. Ils ont tâté mes seins, mes fesses, m'ont faite pencher en avant pour constater la présence du petit suisse qu'ils ont laissé en place. Des ordres ont fusé pour que je prenne différentes positions. Finalement ils m'ont installée sur le chevalet. Mes deux seins pendaient de chaque coté, j'avais toujours mon harnachement pour les bras. Ils ont fixé mes chevilles aux pieds du chevalet. Ils ont accroché des poids lourds à mes tétons et m'ont cinglé les fesses longuement. La douleur devenait insupportable et je me suis mise à crier progressivement. Ils m'intimaient l'ordre de me taire. Mais ca devenait impossible. Alors l'un d'eux m'a mis un bâillon boulle dans la bouche qui m'a fait baver tout le reste de la soirée.

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Ils ont continué à frapper, à cravacher mes fesses et mon dos. De temps en temps ils venaient frapper mes seins qui pendaient et dont la douleur provoquée tant par les poids suspendus que par les coups de cravache me faisaient atrocement souffrir. J'en venais à "hair" mon maitre de me mettre dans de telles situations et de tant exiger de moi. Finalement ils ont ôté l'anuspicket et chacun leur tour sont venus se vider dans mon cul. Pendant que l'un était entrain de me ramoner le cul, l'autre se faisait sucer. Deux grosses queues me remplissaient.

L'un d'eux ensuite se mit à me poser des aiguilles dans les fesses autour du cul et plus bas. Puis il m'encula de nouveau. Son bas ventre venait frapper mes fesses et enfonçait à chaque fois un peu plus les aiguilles dans ma chair.

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Un de leur portable sonna et le mec répondit "ok". Aussitôt après il attrapait mes deux seins à pleine mains tout en continuant à m'enculer. Il les malaxa sauvagement. Il venait d'apprendre que mon soutient gorge avait été aménagé avec des aiguilles et il cherchait à me faire mal surement sur les conseils de la personne qui venait de l'appeler. Une fois qu'ils eurent vidé leurs couilles dans mon cul ils reprirent le cravachage. Pour ce, ils me firent allonger de dos sur le chevalet. Ils m'attachèrent les deux poignets et les deux chevilles aux barreaux du chevalet. Les coups se sont mis à pleuvoir sur les seins tendus par les poids qui pendaient de chaque coté, sur le ventre et sur la chatte. Au bout d'un temps assez long je fus détachée et je dus m'allonger sur le lit ou ils me rejoignirent. Je dus baiser avec eux, les embrasser goulument. Mon soutient gorge était toujours en place. Des traces de sang coulaient autour. Ils quittèrent la pièce ensuite et le surveillant vint me chercher. Il me fit reprendre la position debout devant la glace et se mit à enlever mon soutient gorge pour montrer aux voyeurs derrière les glaces mes seins d'ou sortaient de multiples trainées de sang.

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Je vis mon corps zébré de multiples marques de cravaches rouges rosées. Il me fit tourner sur place pour bien exposer le dos aux voyeurs. Mes fesses me faisaient souffrir.

 

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Je fus ramenée en chambre. Je pus prendre une douche et essayer de dormir sachant que dès le lendemain soir je devrai recommencer mes passes et sans doute de nouvelles séances au donjon.
Je remercie cependant mon Maitre de me faire connaitre ces sensations à nulle autres pareilles. Je suis prête à toujours souffrir plus pour lui. Et j'ai aussi une petite pensée pour mon mari que je ne vois plus depuis quelques temps mais je sais qu'il suit ce que je deviens.

 

Je dois retourner au Club courant Juillet. Je ne sais pas encore pour combien de temps.

Avec obéissance et soumission. Nadine

 

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