Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 23:17

Réflexions d’une femelle bourgeoise et pute pour le plaisir de son Maître…

Si une pute peut parfois choisir ses clients, pas la soumise que je suis. Je me dois être disponible, un point c'est tout. Je fais une totale confiance à mon maitre Jacques qui sait ce qui est bien pour moi et pour son plaisir. Je ne dois plus offrir de barrière à mon intimité. J’ai été dressée à cela. Pour lui. Pour qu’il soit fier de moi. Comme toute soumise, j’ai un devoir d'exhibition. Pour ce je ne cache rien à mon maitre et à ceux a qui il me prête, et en premier lieu mon corps . Je mets mon corps à sa disposition. Il doit pouvoir l'utiliser le plus facilement possible. Mon corps de soumise lui est ainsi entièrement disponible. Il peut porter les ornements ou la marque de mon maitre. Que ce soit un simple parfum, un collier, ou tous autres accoutrements laissés à sa convenance.

C'est aussi le signe de mon dénuement. Je suis toujours nue sous mes vêtements. Je ne porte mes habits que pour le plaisir de mon maitre.  Mes exhibitions demandées par mon Maitre peuvent être publiques.

Je sais que mon maitre n'a qu'un but, repousser mes limites de soumise pour asseoir son pouvoir sur moi. Les pratiques sado-maso sont dans ses habitudes, et mon maitre les utilise comme bon lui semble et n'a aucune justification à donner me donner. Cela fait partie de son plaisir et je dois m'y plier. Ce chemin a été et est toujours long et difficile. L'exhibition est un moyen pour me faire exprimer ma soumission. Des étapes importantes ont été nécessaires  pour que je sache m'exhiber. Je me suis montrée à mon amant, mais bien vite j’ai compris que je devais aller plus loin. Je me suis alors exhibée à sa demande devant des amis, puis le cercle s’est élargi.
Le chemin fut long et difficile qui m’a menée vers la soumission totale.

Toutes les soumises savent que leur corps appartiennent à leurs maîtres C'est un fait établi et reconnu par toutes. Mais il ne suffit pas de le savoir, il faut le faire savoir. Les paroles s'envolent et s'oublient mais les écrits restent. L'un des meilleurs moyens est donc d'écrire à même leur corps ce qu'elles sont inévitablement, un objet de plaisir. Aussi mon Maître m’a-t-il fait poser deux anneaux aux tétons et deux anneaux aux levres du sexe auquels il a fait suspendre une plaque au bout d’une petite chainette. La plaque porte mon nom de soumise ainsi que celui de mon propriétaire et Maitre. Ainsi tout partenaire sait ce que je suis et à qui j’appartiens.
Le libre accès à mon intimité faisant parti de mon engagement, la notification de ce que je suis sur la partie lisse de mon pubis montrera la qualité essentielle d'une bonne soumise, la praticité dans l’utilisation.
Une soumise doit être pratique, facile d'utilisation, c'est même écrit dessus en tatouage ou au fer rouge, comme un boite de conserve sur laquelle est écrit le mode d'emploi
Cela me met au niveau d’un objet de plaisir totalement dévoué à mon maître, et cela sans même devoir le préciser par des paroles superflues.

Me sentir entourée par tant de désirs masculins et m'y prêter docilement fait partie d'une excitation féminine toujours latente. C'est une forme de soumission. Une soumission à mes pulsions, à mon désir sexuel. Nue, tripotée, exhibée, baisée, fouillée de toute part, l'épreuve parait difficile à surmonter mais est indispensable à ma condition de soumise obéissante.

Je sais que le ressort absolu de la soumission est l'humiliation. Aussi, au delà de la douleur, du bondage, de l’immobilisation ou de tout autre jeu BDSM, le gout de l’humiliation, voire de la dégradation de la bourgeoise que je suis, à travers l’acte de pute, est l’essence même de ma soumission.
Je dois aimer m'humilier, gouter au gout amer des vexations, des outrages moraux, et de la honte et boire le calice jusqu'à la lie.
Et quand l'humiliation se fait moins forte, avec l'habitude, je dois trouver d'autres humiliations encore plus amères, encore plus profondes. Mon Maître, pour satisfaire
mon goût de soumission, m’aide à trouver d'autres exercices, d'autres expériences pour humilier à nouveau la soumise que je suis et m'emmener vers ma condition ultime, celle d'esclave. Mais le chemin est sinueux et plein de surprises.

Au fur et à mesure de ma progression dans ma soumission à mon Maître, J’ai du offrir ce qu'il y a de plus intime en moi, l’offrir sans calcul et sans profit. Et ce qu'il y a de plus intime, c'est le baiser. Je m’offre aux baisers les plus profonds de mes partenaires, le plus salé et salivé et m'exposer à l'intrusion ultime d'une langue virile. J’offre la fouille intime, totale et impérieuse car c'est par la bouche que la soumission s'exprime le mieux.

Je me dois de laisser de côté mes propres sentiments et sensations, du moins les taire, pour ne pas perturber le plaisir de mon maître, sauf s’il le désire évidement.
Mais s'il ne le désire pas, je dois être capable de n'être qu'un outil totalement dévoué à l'utilisation de mon maitre. Tout mon être doit être concentré à faire de sa partie soumise un outil acquis à mon maître
En tant que soumise je suis la main ouvrière des envies de mon maître. Même attachée, je n’ai pas le droit à l'oisiveté. Je suis en charge des basses œuvres de la maison et en général de tout ce que mon maître n'a pas s'abaisser à faire.
Je comprends très bien que les plaisirs de la chair me soient refusés, ou du moins entièrement contrôlés et savamment distillés par mon maitre ou sur ses ordres. En tant que soumise je me sens un objet sexuel par excellence.
Je fais un don sans faille de mon corps en faveur de son maître et je m’offre à lui sans retenue, corps et âme, en toute sincérité.
Je dois de me contenter de ma soumission et d'y concentrer toute mon attention sans me préoccuper des conséquences ni de l'environnement. Etant considérée comme un objet, un outil, une extension des envies du maître, mes envies sont partie négligeable face aux envies du maître.

Mon Maître me dit qu’avec une soumise, on peut se permettre de la baiser, purement de la baiser, en ne pensant qu'à son propre désir, que c’est un des rouages essentiel de la soumission. Il ne s'agit pas pour lui de faire l'amour, de mettre un sentiment d'amour dans cet acte. Un Maitre peut très bien même penser à une autre en la baisant. On peut aussi lui faire des choses qu'on n'oserait pas avec une autre personne mais qu'on meurt d'envie de le faire.

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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