Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 12:23


Forcément qu'avec ce beau temps et mon mari absent pour le week-end je m'y attendais un peu.
C'est qu'à force,je me débrouille à être disponible pour les exigences de mon Maître Jacques...
Surprise ?
Je le suis toujours un peu lorsque je reçois ses ordres par Mail.
Jacques est toujours clair, net et précis dans ses ordres...
Si je peux décider de mettre une jupe noire avec un chemisier rouge et de me mettre un rouge carmin
aux lèvres complété par un mascaras vert pour les yeux, je dois ne pas oublier que la jupe doit être ras des fesses
et mon maquillage des plus exagéré; mini jupe + belle, sic Jacques...
De plus il n'est pas question pour moi de ne pas mettre cet énorme anus picket que m'avait offert un Maître suisse.
Avec les talons hauts, ma démarche allait sûrement être très " roule du cul " et Jacques le savait parfaitement
ainsi que l'effet douloureux que chacun de mes pas déclanchaient en moi...

Restait plus qu'à appeler le taxi et guetter son arrivée pour m'enquiller le petit suisse dans le cul
et m'éviter ainsi de souffrir inutilement d'autant que la soirée s'annonçait très difficile...
Jacques n'avait pas dit que je devrais essayer de tout accepter mais que je devais tout accepter...
Facile de dire que j'allais le faire mais...
Le taxi ! ! !
Petit suisse bien lubrifier en cul, je pouvais quitter le domicile conjugal...
Par chance le chauffeur de taxi ne semblait point s'intéresser à ma personne, trop occupé par sa course.
Nous roulions depuis presque 45 minutes, nous étions hors de Limoges en pleine campagne...
- Je crois que nous sommes arrivés, Madame !
j'ai du lui régler la course... On était en pleine cambrouse...
Le taxi s'éloignait tandis que je sonnais au portail d'une belle propriété...
- Bonsoir Madame, suivez moi !
Un homme, très charmant au demeurant, m'invita à y rentrer et à le suivre vers la villa au fond du parc...
- Monsieur vous attend, entrez !
Je pénétrai dans la demeure par un petite porte sur le coté...
- Suces. et avales !!!
Queue à l'air, le propriétaire des lieux m'accueillait...
Moins de 5 minutes et il jutait dans ma gorge et j'avalais, sans me soucier des éclats de voix venant de la pièce d'à coté.
Ce salop me laissa lui nettoyer longuement la verge...
- Suis moi, tu es attendue !
Dans une vaste pièce, une dizaine de personnes achevaient leur dîner...
5 hommes et 6 femmes qu'au premier coup d'oeil je compris être là pour le plaisir de ces Messieurs...
- Voici mon cadeau pour la soirée !
Il m'avait faite monter sur une table basse pour bien m'exposer à tous...
- Otes ton chemisier et ta mini. Présentes toi, esclave !
- Nadine, esclave pour vous servir...
- Cette garce est la femme d'Arnaud... le couillon à cornes...
- Le pauvre cocu est loin de se douter de ce que fait sa chère Nadine ce soir...
J'étais stupéfaite, il connaissait mon mari...
- Montres nous ton petit suisse, esclave Nadine !
J'ai du ressortir mon gros anus picket puis le remettre en moi...
Stupéfaites de la taille de l'engin, les femmes poussèrent de petits cris d'effroi tandis
que les hommes m'applaudirent en félicitant le Maître de maison de ma présence...
- Esclave Nad, viens faire connaissance avec mes amis !
Jusque là rien d'extraordinaire sauf que j'entendais les hommes parler de mon mari qu'ils semblaient bien connaître...

Mariée et appartenir à Jacques comme en attestait la médaille portée au percing de mon sexe les intriguait...
Mes gros seins et leurs anneaux les amusaient beaucoup aussi... Pour une femme mariée...
- Mes amis, la femme d'Arnaud va vous plaire...
- Le cocu a épousé une esclave... Suivez moi !

Précédant le Maître des lieux et ses invités, je pénétrais dans un donjon aménagé SM.
Croix de Saint André, Table gynécologique avec attaches, palans de suspension...
Pendue par les poignets, j'eu la surprise de me voir retirer mon anus picket...
- Tiens, commences par la mettre en chaleur !
Un des invités commença à me fouetter avec un long fouet...
La lanière s'enroulait autour de moi, il visait mes seins et mon ventre.
Sous combien de coups j'avais du hurler ?
Je repris connaissance sur la table de gynéco où attachée, on me baisait...
Ils trouvèrent mieux à faire que de me sauter, les salops m'introduirent un spéculum pour une visite
approfondie à l'intérieur de mon vagin... A l'aide d'un énorme god, ils me firent jouir à ma grande honte.
Je fus soulager d'être libérée du spéculum mais malheureusement un main s'introduisit de force en moi.
Je cru tomber dans les pommes mais, surprise et honteuse, je pris mon pied en hurlant de bonheur...
La femme d'Arnaud, le cocu, leurs plaisait à ces grands vicieux...
Incroyable, une sonde fut glissée en moi pour me vider de mon urine et horreur, pour me remplir de vin qu'ils voulaient me voir pisser devant eux...
Me voir hurler d'uriner, car cela me brûlait, les amusait car ils recommencèrent une seconde fois.
Je fus détachée mais point de répit, ils m'enculèrent à tour de rôle sans oublier de me maltraiter les seins...
Les salops m'avaient attachées à un chevalet, pliée en deux je ne pouvais résister à leurs assauts.
Les coups de cravache cessèrent enfin et l'on me détacha...
- NAD, SALOPES, venez baiser !
Aucune des femmes ne discuta l'idée du Maître des lieux et comme moi elles se firent troncher, enculer sans compter les fellations imposées par ces Messieurs bien protégés de leur capote
qu'ils se gardaient bien de changer lors leurs différents coïts avec nous, leurs putes de service...
Partouzée ne m'empêchait point d'être tabassée, mes camarades de baise n'étaient point à la noce non plus
car certaines laissaient couler des larmes, témoins de leur souffrance...
- Une chasse, ça vous dit ?
A 3 h 00 du matin, il était fou ou quoi ?
NAD, la femme du cocu, et deux autres femmes désignées d'office pour être le gibier...
Nous avions 5 minutes pour courir nous cacher avec nos hauts talons dans le parc de la propriété.
Le painball que je craignais tant me fit oublier que ces salops m'avaient remis le petit suisse en cul...
Moins d'un quart heure de chasse et j'étais capturée par un chasseur...
- Elle est à toi. Fais en ce que tu veux...
Direction le donjon où je me retrouvais de nouveau pendue par les poignets.
Mon chasseur avait décidé de me dérouillée pour m'apprendre à ne pas me laisser prendre,
le salop visait mes tétons et leur anneau, mon sexe, il me faisait souffrir...
Je braillais à force d'en prendre des coups de cravache et de fouet, j'en pouvais plus...
Un chance pour moi, ce sadique était si excité qu'il voulait me baiser, mettant fin à la correction.
Vers 5 H00 du matin, ce salop me signifia qu'il allait me raccompagner chez moi...
OUF !!!
Mon oeil, je vous le donne en mille...
Je dus le laisser monter chez moi et lui montrer la chambre conjugale où il
exigea de faire l'amour avec l'épouse d'Arnaud, le cocu.
Il tira son coup et sans mot dire me laissa seule...
Quelle nuit !
Je m'endormis en songeant que ces salops voudraient revoir la femme de leur copain Arnaud...
Rêve ou cauchemar ?


Ce soir, en Taxi, tu te rendras à 23 H 00:

Chez .... .... ....

Fais toi belle et lisse à faire bander les impuissants, ma chérie.

Anneaux aux seins et au sexe avec ta médaille d'esclave.

Un corset bien serré pour mettre tes gros seins en valeur sous un chemisier transparent

Talons hauts, sous une mini jupe mets ton petit suisse , sans oublier ton collier de chienne.

22 H 00

- Tu es prête, esclave ?

- Comme vous l'avez exigé, Maître Jacques !

- Tu vas pouvoir appeler le taxi... M. .... doit t'attendre ...
- Tu devras tout accepter, je peux compter sur toi ?

- A vos ordres, Maître Jacques !

- Bonne soirée, esclave.

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 12:18



Forcément que je me suis mise en quatre pour recevoir cet homme
que mon Maître Jacques voulait que je reçoive chez moi en l'absence de mon cocu de mari...
A l'heure prévue,
j'ouvris la porte de mon chez moi pour laisser entrer un quadragénaire râblé, style première ligne de rugby,
qui m'offrait un bouquet de fleur en me souhaitant le bonsoir..
Par politesse j'en fis de même en lui proposant un verre qu'il accepta bien volontiers.
La situation aurait pu être plaisante si ce n'est que mon anus avait en lui un " petit suisse " très gênant
car ce Monsieur avait de la conversation très agréable...
- Au fait, tu sais pourquoi je suis là ?
- Oui, Monsieur !
Souriant, il me tendait la carte de visite de jacques sur laquelle il m'ordonnait de lui accorder le niveau 5...
- Tu seras obéissante, j'espère ?
- Oui, Monsieur !
Et pour cause avec le Niveau 5, il pouvait tout se permettre avec moi...
- Retrousses ta jupe et montres moi tes atouts.
Les mondanités venaient de s'achever, mon visiteur s'intéressait beaucoup à ce que j'avais à lui offrir...
Le " Petit Suisse " retint beaucoup son attention...
- Penches toi en avant, enculée !
Le salop, excité, voulait voir l'engin dans mon anus sous tous les angles...
Sans crier gare, il m'a prise par les cheveux pour m'envoyer un aller retour de gifles...
- Suces moi la queue, salope.
Le Monsieur, monté comme un âne, en moins de 2 minutes se vida dans ma bouche.
Me tenant la tête, j'avais compris l'invitation à tout avaler son abondante éjaculation...
- Otes moi ce chemisier, montres moi tes mamelles !
- De suite, Monsieur !
Impossible de ne pas lui obéir d'autant que je venais de prendre 2 baffes supplémentaires.
- Quelle paire, ma grosse !
Pas le temps de le remercier de ce compliment, Topless et anneaux aux seins je lui offrais de quoi s'amuser...
Un sauvage, sans se préoccuper de la douleur qu'il m'infligeait, il me fit un malaxage de mes chairs mammaires.
- Debout, mains sur la tête.
Une horreur, il prenait mes seins pour un punching-ball...
Des marques violacées ont vite apparu sur ma poitrine qui à chaque coup me faisait crier...
Comme si cela ne lui suffisait pas je recevais une paire de claques pour ponctuer ses dire.
- Pute! Traînée!! Salope !!!
Je vous dis pas la couleur de mes seins au bout de 30 minutes...
- Trouves moi un corde, salope.
J'obéis, moins de 5 minutes plus tard ce salop avait bondagé mes seins prêts à exploser, tels des obus...
Vicieusement, il les tapota comme pour s'assurer de les avoir bien ficelés.
En tout cas, ma poitrine pointait atrocement.
- Aurais tu de belles grosses aiguilles, chérie ?
- Oui, Monsieur !
Fini de rire, je venais de mettre à sa disposition tout un lot d'aiguilles intramusculaires...
- Garce, j'adore !!!
Pas moi, il venait de planter perpendiculairement un grosse aiguille à travers mes auréoles...
- C'est pas mieux comme cela, chérie ?
Le con, il venait d'en mettre deux autres à l'horizontale, je serrais les dents pour ne pas hurler...
- Tu dis rien ? Et comme ceci ? ? ?
- Whouaïe...Non !!! Ouiiiii Monsieur ! ! !
A deux doigts de m'évanouir tant je souffrais de recevoir dans chaque téton une aiguille
qu'il prenait plaisir à enfoncer à tour de rôle délicatement jusqu'à la garde...
- Ces deux là sont les meilleurs, non ?
Faute de réponse de ma part il me gratifia d'une paire de baffes...
- On va les garder !
Je lui en étais gré de retirer les 4 aiguilles de mes auréoles malgré la douleur des 2 plantées dans mes tétons...
- Monsieur, non !!!
Cravache en mains, mon refus le faisait sourire...
- A genoux, tends moi tes seins !
20 coups ... Je crus mourir...
On ne meurt point de souffrir !
- Otes don ta jupe, enculée !
- Bien, Monsieur !
Un peu soulagée qu'il oublie un peu mes seins qu'il m'avait autorisés à soulager...
J'étais à poil... Lui, aussi et en forme olympique toute phallocratique.
- Ma chérie, montres moi la chambre conjugale !
- Suivez moi, Monsieur !
Je lui offrais une montée d'escalier des plus excitante avec mes hauts talons qui accentuaient le roulis de
mes fesses qui ne pouvaient dissimuler l'anus picket qui les séparaient atrocement...
- Au lit chérie, je vais te mettre en chaleur !
Je compris très bien que c'était à coups de martinet qu'il entendait faire les préliminaires...
Après une série cinglante de coups appliqués sur tout mon corps, Monsieur me prit par les cheveux
pour me mettre en position de baise...
Erreur de ma part...
Ce vicieux accrocha mes poignets aux montants du lit avant de me donner l'ordre de plier les jambes
pour qu'il puisse y attacher aussi mes chevilles...
- Madame va mouiller !
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
C'est de toutes ses forces que ce sadique appliquait le martinet sur mon entrecuisse...
Il visait mon sexe systématiquement...
- Pas ça, Monsieur !!!
Mes pleurs ne l'empêchèrent point de servir de mes anneaux intimes pour à l'aide d'une cordelette m'ouvrir
le vagin tout grand que mes lèvres prisonnières ne pouvaient plus protéger...
- Un vrai garage à bites, salope !
Je veux presque soulagée qu'il quitta un instant la chambre conjugale tout en restant inquiète car sans défense...
- Que dirais tu d'un bon nettoyage de ta chatte, salope ?
- Monsieur, pitié !!!
N'ayant que faire de mes supplications, il entendait user d'un paquet de coton dont il fit des boules
qu'il imbiba de vinaigre avant de me les enfoncer dans mon intimité offerte et sans défense...
Impossible de ne pas hurler tant cela me brûlait...
Me voir souffrir devait lui plaire car il me bâillonna avant de se branler en me regardant d'un air satisfait...
- Chatte en chaleur et cul garni, bravo Madame !
N'allez pas croire qu'il retira les boules qui me brûlaient le ventre, le sadique jouait avec le petit suisse ...
- Un cul pour bite d'âne, salope !
Le salop ressortait doucement l'engin avant de me le remettre en cul brusquement...
Un horreur que de se faire ainsi ouvrir la rondelle.
Je ne savais plus où j'en étais...
En jouant avec mon anus picket, il m'avait retirée les boules de coton...
- Pas ça, Monsieur !!! Pitié !!!
Sa grosse verge sans préservatif me ramonait le ventre...
- Pute, prends ça !
Le niveau 5 l'autorisait à me baiser sans protection, il en profitait vicieusement pour bien se vider dans mon vagin...
En se retirant de mon ventre, il me libéra du " Petit SUISSE " avant de détacher mes chevilles et poignets...
- Je crois que l'on te demande, pute !
- A votre disposition, Monsieur !
Sa grosse verge bandouillait toute gluante...
- Bravo, Madame !
J'avais compris son souhait de me voir officier de la bouche et redonner vigueur à sa verge...
- Une femme mariée, c'est le top comme salope !
Ce vicieux avait adoré se payer ma pomme dans le lit conjugal...
J'étais presque fière de l'avoir satisfait pour obéir à mon Maître Jacques...
- Aié !!!
Sadiquement et souriant presque, il me giflait...
- Pour t'apprendre à tromper ton mari, chéri !
A coup de cravache sur mes fesses, il me fit redescendre au salon...
- Un graissage de cul, ça te dit ?
- Monsieur, si vous voulez ...
Sadiquement, il exigeait que je m'installe sur lui en prenant sa grosse verge dans le cul...
- Houaille !!!
- Ramones toi, pute.
Prenant les anneaux de mes tétons, il entendait bien me donner la cadence d'enculage...
J'en avais déjà le vagin plein de son sperme et je fus étonnée du nombre de giclées qu'il me lâcha dans le cul...
- Et alors ?
Sa cravache me fit comprendre qu'il entendait un nettoyage buccale de son sexe...
Le sans capote, autorisé par le niveau 5 accordé par Jacques, m'effrayait un peu
vue les maladies transmissibles mais de plus m'obligeait à des nettoyages des plus écoeurants...
- Salope ! qui a le cul sale ?
Mon hésitation jugée sans valeur par ce sadique malgré des traces d'excréments sur sa grosse verge fut pour lui
une occasion rêvée de m'obliger à faire disparaître toutes ces saletés à coups de langue obtenus par sa cravache...
Faisant fi du mauvais goût, je ne pouvais que le satisfaire... pour Jacques.
La verge propre, il pouvait s'habiller le Monsieur devant moi...
Sa cravache coincée par ses soins entre mes fesses restait à sa disposition.
Le voilà enfin habillé et prêt à quitter mon domicile...
- Ouiailleeeeeeeeee !!! Nonn !!!
La cravache pour commencer, des gifles et des coups de poings pour terminer furent la conclusion de cette soirée
Inutile de vous dire que malgré la douleur de tout mon corps, je m'endormis comme une souche...
- A bientôt, chérie !
Impossible pour moi d'oublier sa promesse...
Une semaine s'est déjà écoulée et rien que d'y penser, j'en frissonne.
Et pourtant si Jacques le veut, je le ferai...

Un ami passera vers 23H00, il aimerait être reçu par une
charmante maîtresse de maison très BCBG, un peu vamp...
Pour qu'il sache à qui il a affaire :
je veux que tu portes tes anneaux et ton collier de chienne.
Ton gros anus picket devrait lui plaire...
Je compte sur toi pour satisfaire en TOUT mon ami.

Jacques

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 12:17

Ordres de Jacques :
Retour dardar à la maison...
Grenoble direction Angoulême ...
Pas question de tergiverser alors comme E.T., je rentre chez moi...

Sachant mon cocu de mari absent, mon Maître avait trouvé de quoi m'occuper la soirée de Samedi...
Un de ses amis me rendrait visite vers 22 H 00.
- Ce sera un plaisir pour moi, Maître Jacques.
- Nadine, il faut que ce soit un très grand plaisir pour mon ami...
- Un plaisir du niveau 4 sera parfait, il adore dresser les chiennes !

- Je ferai comme vous voudrez, Maître !
Niveau 4, j'avais compris que mon visiteur avait tous les droits jusqu'à la limite du sang...

Pour la tenue d'accueil de mon ôte, j'en avais l'habitude et cela je l'avoue ne me déplaisait pas...
- J'oubliais NAD, mon ami adore les enculées...
recevoir avec mon joli petit anus picket entre les fesses ne me dérangeait pas plus que la tenue...
- Comme vous voudrez, Maître Jacques !
- Ton petit suisse devrait lui plaire...
- Le . . . ? ? ? Bien, Maître !
Je l'avais presque oublié celui là...
12 cm dans le boyau pour qu'il y reste pour m'ouvrir atrocement le trou du cul de ses 10 cm de diamètre.
A 21 H 45, La Suisse se rappelait à moi...
Impossible de marcher normalement, j'avais l'impression d'avoir une fessier deux fois plus gros et
qu'au moindre pas j'allais exploser du cul... Enculée ainsi, Il me fallait adapter ma démarche.
J'en fus presque soulager lorsque mon visiteur arriva...
- Bonsoir.
- Bonsoir, Monsieur !
Je l'ai reconnu de suite, ce vicieux il était déjà venu avec un copain.
Point besoin de lui dire de passer au salon où
j'avais préparé pour lui de quoi dresser une chienne...
Une fine et longue cravache en cuir semblait lui plaire.
- Que t'arrive t il ma grosse, tu m'as l'air empotée ?
- Monsieur, c'est ... j'ai dans le cul...
- Montres moi ça, chienne.
Que voulez vous que je fasse ?
Il voulait voir ?
Il allait voir le SUISSE...
- Une bite d'âne dans le cul, Jacques a raison...
- Un peu d'exercice ne peut que te faire du bien ma grosse Enculée !

- Houaa !!
J'avais failli le remercier de m'avoir retirée le SUISSE mais il l'avait remis à sa place...
- Fais moi le tour de la table, chienne !
- Tiens toi droite, Enculée.

Atrocement atroce, je ne pouvais que me dandiner en cambrant mon fessier pour le soulager...
Je ne dirais pas que je ne sentais pas ses coups de cravache mais j'avais l'esprit trop occupé
par la présence du GROS SUISSE qui il me semblait allait faire exploser mon fessier...
Que dire lorsque mon entraîneur qui m'octroyant une pose, s'amusait à retirer mon
anuspicket pour me le remettre aussitôt que je commençais à ressentir le bonheur d'en être libérée...
Il jouait avec mes nerfs !
Repos, Poses ? ? ?
Sa cravache ne m'en autorisait point, même lorsque je lui faisais une fellation
car il en profita pour viser le suisse en mon cul et me rappeler que...
- Enculée, avales tout chienne !
Pas très fin le type mais vicieux comme pas deux...
- Au balcon la grosse, vas prendre l'air Enculée !
Pas aisé pour moi de tenir la cadence qu'il m'imposait alors c'est vrai que prendre l'air
eut été très bien si ce n'est que je m'exposais à tous ainsi...
- Monsieur, pitié on pourrait me voir !
- Tu as raison, mets toi à quatre pattes chienne !
L'enfoiré !
J'avoue qu'à quatre pattes sur le balcon j'étais moins visible mais quand même...
- Chérie, allons dans la chambre conjugale !
- Personne ne nous y verra, même pas ton cocu de mari...

- Bien, Monsieur !
Soulagée, finaude ce fut à quatre pattes que je précédais mon tourmenteur dans ma chambre...
Pas si futée que cela mon initiative car la cravache m'intima vite d'accélérer l'allure
vers la couche conjugale où mon visiteur comptait me faire l'amour à la place de mon mari...
Ce fut le cas... Vite fait, mal fait...
L'enculée d'épouse que je suis avait baisé avec un homme dans le lit conjugal.
- Garce ! Faire cocu ton mari ?
- Tu mérites d'être punie pour ça !

Plus vite qu'il ne m'avait sautée sur le dos, le salop m'avait attachée en croix sur le lit... Combien de temps ?
Franchement je n'en sais rien car je serrais les dents et fermais les yeux pour ne voir le plaisir
qu'il prenait à me fouetter de sa cravache...
Mes seins, mon ventre, mes cuisses, mon pubis...
J'avais le feu qui couvait, ce salop fouettait sec et précis...
- Monsieur Pitié, je ferai tout ce que vous voudrez !
Quelle grosse conne !
Pour jacques, de toute manière j'aurais fait ce qu'il voulait...
L'instinct de conservation peut être ?
En tout cas j'avais gagné, mon visiteur m'avait détachée du lit familial...
- Un petit tour à la cave, ça te dit chienne ?
- Monsieur, comme ça ? ? ?
- Tout ce que je voudrai, tu l'as dit ou pas Nadine ?

J'avais failli crever de honte la dernière fois que j'étais sortie en chienne pour me balader dans l'immeuble,
mais cette fois il voulait me balader à poil ou presque...
Cliquez sur la photo et convenez qu'en plus du SUISSE, je l'avais dans le cul et profondément...
La descente des 3 étages, tenue en laisse par mon tourmenteur, me parut une éternité tant la
hantise de rencontrer une personne me connaissant en tant que Mme ...., infirmière de mon état, et non
pas chienne en laisse qui se laisse promener et dresser par un homme...
Dresser ?
Sa cravache en main pour m'encourager à obéir n'avait de cesse de me taper pour la descente...
- Ma grosse salope, tu fais du gras... Tu manques d'exercice, non ?
- Tu vas remonter à 4 pattes, cela t'en fera grosse chienne!

Si la descente avait été aux enfers, la montée n'allait pas être aux cieux...
Non seulement ce salop avait décidé de me faire boire le calice jusqu'à la lie mais en plus
je dus consommer la crème vitaminée produite par ses couilles en grosse quantité avant et
pour pouvoir exécuter la montée en chienne dopée au sperme que j'étais...
- Houaïlle !!!
- Allez ma grosse, remues toi le cul !
- Aîe !!! Aî... a !!!!
A chaque marche, sa cravache me striait les fesses,
ce salop essayait de viser mon anuspicket qui me taraudait atrocement l'anus...
Malgré la douleur causer par le SUISSE, la cravache
et la dureté tant des marches de l'escalier que de l'exercice,
je compris très vite que si je continuais à gueuler, j'allais réveiller tout l'immeuble...
- On va pas y passer la nuit, ma grosse !
A chaque commentaires, à chacune des marches,
mon arrière train avait le droit à son coup de cravache...
3 étages à 2 fois 15 marches...
J'avais au cul plus de 100 coups de cravache à mon retour au domicile conjugal.
- Excellent pour la santé, ma grosse...
- Regardes comment ça me met en forme, chérie !

- Monsieur. . .
La verge toute flasque après m'avoir offerte ses vitamines était très en forme,
le spectacle offert par ma montée avait revigoré et remit en forme le phallus...
- Aie !!!
- Restes à 4 pattes et pompes la grosse...
- Grouilles ou je t'arrache la peau des fesses !

01 H 00 du matin.
Il m'avait baisée, jouit en bouche déjà par 2 fois et s'apprêtait à m'en faire bouffer une troisième...
Cela faisait pratiquement 3 heures qu'il me cravachait...
- Nom de Dieu, Jacques avait raison...
- Tu es une sacrée pute soumise, Nadine !

Ce compliment fut ponctué comme il se doit d'un coup de cravache
accompagné d'une série de giclées crémeuses et liquides au fond de ma gorge...
Je suis conne !
Si je vous dis que j'en était fière d'être ainsi traitée...
Jacques voulait que je sois sa pute ?
Et alors, je suis prête à tout pour lui plaire...
La preuve c'est que demain, je retournerai à Grenoble bosser sans me plaindre
de ce qui vient de se passer avec son ami de passage au domicile conjugal...
Grosse oui mais y'a bien pire et au moins moi j'obéis à mon Maître sans discuter
et avec plaisir sans discuter comme certaines bien pensantes et portantes...
Ce récit est fait pour vous plaire certes mais
c'est à mon Maître Jacques que je le dédie...

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 11:49

 

 

Inscrite dans une Entreprise d'Intérim sur ordres de Jacques, son Maître,
Nadine, l'Infirmière, officie de ci et de là, au gré des besoins médicaux et autres.
Jacques en profite pour lui faire rencontrer de nouvelles personnes sur son secteur d'activité.
Accoutumée à recevoir chez elle, Nadine se doit de se rendre chez l'habitant...
Même principe que pour ses réceptions chez elle sauf que le lieu de rencontre inconnu la stresse un peu.
5 rencontres déjà, 3 chez des hommes et 2 chez des couples ce qui est assez peu habituelle pour Nadine...
Imaginez ?
Il y a une quinzaine, vers 21H00 Nadine sonne à la porte d'une villa...
Son manteau dissimule un joli serre taille et ses bas, un anus picket dans le cul l'oblige à une démarche chaloupée,
autour de son cou un collier en cuir d'où pend une laisse lui rappelle sa condition d'esclave...
Pas très à son aise dans ses petits souliers à talons notre visiteuse à domicile.
lorsque la porte s'ouvre pour laisser apparaître une femme, la quarantaine,
sapée d'un pantalon de cuir et d'un chemisier blanc, bien campée dans ses bottes de cuir.
Pas de perte de temps pour Nadine qui à peine saluée fut invitée à entrer dans le HALL de la maison où
une penderie ouverte l'attendait.
Fermant la porte d'entrée à clef, son hôtesse l'invita à se mettre à son aise et à y ranger son manteau...
Frissonnant un peu à cette idée, mais pour obéir à Jacques comme elle en avait l'habitude,
Nadine ôta son manteau qu'elle suspendit fébrilement.
Jaugeant la visiteuse tel un maquignon une bête à la foire, la Maîtresse de maison prit en main la laisse
tout en ordonnant à Nadine, en tenue ordonnée par Jacques, de la suivre prestement...
Dans le beau et grand salon de la villa, le Maître de maison les attendait
avec à la main une enveloppe qu'il remit à Nadine :

Il y avait une carte avec l'inscription SGC N° 4 paraphée de la signature de Jacques...
Nadine dut dire à ses hôtes qu'elle savait devoir tout accepter sauf SM hard, cela la réconforta un peu.
Cela eut été parfait si ils n'avaient point exigé d'en savoir plus sur elle.
Ses qualités d'esclave furent détaillées y compris le coté salope mariée cocufiant son mari...
Vous saurez tout sur le zizi, cette fois c'était sur son pedigree qu'ils voulaient tout savoir.

- Habituée à porter des poids aux seins ?
Qu'à cela ne tienne, Monsieur et Madame se firent un plaisir de lui lester les miches...

- Être enculée ?
Les salops ne se privèrent pas pour voir comment elle réagissant sans et avec son anus picket...

- Toute heureuse d'être à leur service ?
Puisqu'elle était heureuse de faire plaisir, pour ne pas être en reste,
Mr. et Mme lui firent monter le plaisir au godemiché...
Des jeux qui n'étaient pas pour déplaire totalement à Nadine...
Si les deux jouaient de concert avec elle, ce fut Madame qui l'invita à venir danser avec elle...
Pas si aisé avec les poids aux seins de se lover contre elle et former un duo parfait
Encore moins lorsque Monsieur vient se joindre à eux pour prendre possession de sa bouche,
de ses lèvres et de sa langue dont il usa comme si Nadine l'aimait amoureusement ...

- Savait il que Nadine détestait se faire rouler des pelles, ainsi par un inconnu ?
Obéissante, elle embrassa amoureusement le Monsieur chéri
qui tout excité par cet amuse gueule, se mit sur le canapé pour inviter Nadine
à venir lui pomper sa grosse queue qu'il exhibait fièrement devant son épouse...

- Jalouse la dame ?
En tout cas, à genoux devant Monsieur, Nadine offrait son gros fessier à la cravache de Madame
qui ne lésinait pas sur la force des coups qu'elle assénait à la garce qui suçait son homme...
Une chance que cela l'eut excité car ôtant son pantalon, Madame hurla qu'elle aussi voulait se faire sucer.
Un amour de pubis lisse mettait à la lumière et sous la langue de Nadine un joli clitoris
émergeant d'une fontaine d'amour qui coulait si généreusement sous ses caresses labiales
que Madame exigea qu'elle s'en abreuve sans compter bouche collée à la source.
Bite en bouche, chatte baveuse...
Ce fut bite dans son cul que Monsieur se laissa à jouir tandis que Madame admirait en spectatrice comblée...
Ce fut la pose café bien méritée pour tous...
Convivialité certes mais chacun à sa place, Nadine à quatre pattes sur la moquette aux pieds de
Monsieur et Madame confortablement installés dans les fauteuils pour cet entracte...
Un coup sec de la laisse sur son collier clouté lui ponctua l'ordre de remettre en forme
la queue gluante et flasque de Monsieur .
Le phallus en forme dardait entre ses lèvres de travailleuse au savoir faire et qui comptait bien en user.
Pas de chance, Madame la priva de son jouet pour l'inviter à passer au garage pour continuer...

- Avait elle méritée cela ?
Ecartelée et pendue au plafond, impossible pour Nadine de s'opposer au gros mandrin en caoutchouc.
qui lui pénétrait dans la chatte..
Encore moins possible de l'empêcher d'aller et venir mu par un moteur électrique...
A la branleuse !
Masturbation forcée, en fait pas si désagréable si le martinet de Monsieur
et la cravache de Madame n'avaient pas ponctué la cadence de l'engin masturbant son ventre.
Son sexe pleurait de plaisir, ses yeux de douleur...
Une horreur que jouir de bonheur en ayant très mal...
Par deux fois le plaisir horrible la prit sans qu'elle ne puisse lui résister
ni quitter l'engin qui continuait à aller et venir dans son vagin de plus en plus sensible.
Nadine resta seule pendue à la branleuse...
Le retour de Madame lui fit plaisir tout en l'inquiétant beaucoup.
Elle avait invité ses deux frères pour voir Nadine, la pute à domicile, jouir .

- Jouir et elle osa s'en plaindre un peu...
Ce fut en famille qu'ils décidèrent de la motiver...
Cravache, martinet et deux badines lui chauffèrent la couenne pendant un bon quart d'heure
avant que Nadine réclame contrainte qu'elle voulait jouir encore...
Madame eut bon goût de faire remarquer à Nadine qu'elle avait eu une bonne idée
d'inviter ses deux frères pour la baiser et la faire jouir...
Détachée de sa branleuse, soulagée Nadine se laissa faire par
les deux frères de Madame qui profitèrent avec entrain de l'occasion offerte.
Crevée, Nadine n'en détestait pas l'usage fait de sa personne par ces deux baiseurs là...

Vannée et fourbue, Madame la ramena à son hôtel.
Impossible pour Nadine de pouvoir se reposer, Monsieur, Madame et ses frères
revenaient sans cesse à son esprit sans compter que les 2 badines, martinet et cravache dont
son corps se rappelait les coups la hantaient tels des revenants...
Nadine, l'esclave, apprit avec beaucoup de bonheur que son service à domicile
avait donné satisfaction car Monsieur et Madame avaient remercié son Maître Jacques
de leurs avoir permis de passer une si agréable soirée en sa compagnie...
Elle put lire les courriels de félicitations que Jacques se fit un plaisir
de lui faire lire histoire de la motiver pour continuer ses visites à domicile.
Pas dupe, Nadine stressait rien que d'y penser...
A sa prochaine visite à domicile,
qui que quoi allait elle trouver ?

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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Vendredi 17 février 5 17 /02 /Fév 21:58

Je frappe a la porte de son bureau

- oui entrez

je porte une minijupe de cuir rouge, des bas noirs des talons aiguilles de 10 cm, un chemisier très fin.  j'entre

- Bonsoir Maître

- Bonsoir ma pute. hier les hommes qui t on baisé voulaient savoir ce que tu valais

- j'avais compris Maître

- Je leur ai dit vous avez une vraie salope , qui peut tout faire,  elle n 'a aucun tabou . ils ont aimé et ils ont demandé de te tester dans un bordel

- un bordel? qui leur appartient?

- oui

Je frémis a l'idée de devoir faire la pute, peut être l'abattage même

- ils veulent que leurs clients soient satisfait, donc tu va aller , je t en donne l ordre , tu te feras payer comme une pute

- mais je ne suis pas une pute Maître , ce que j'ai fait je l'ai fait pour vous, pour votre plaisir. Pour que vous m'aimiez.

- mais je t aime Nadine , j aime le plaisir que toi seule sait me donner , c est notre secret

- mais de la a me donner a ces mecs pour leur rapporter du fric, faire la pute pour eux!!!

- Tu préfère que je t’offre à eux en cadeau ?

- en cadeau??? si j'accepte de faire la pute dans ce bordel, vous me remettrez les cassettes?

- pourquoi veux tu les cassettes ? tu ne me fait pas confiance

- j'ai peur qu’elles soient diffusées Monsieur

- tu dois me faire confiance , si tu m’aimes comme tu dis . Moi j aime parfois te regarder sur les casettes

- ah bon. Ca je comprends, mais hier soir vous m'avez dit que vous les passeriez sur le site de l'hosto. J'ai eu peur

- je te rassure alors ?

- vous me les donnerez si j'y vais?

- te voir te faire baiser et humilier me fais bander

- alors je refuse d'y aller. Ca me fait peur

- en quoi cela te fais peur ?

- est ce que vous vous rendez compte? laissée entre les mains de ces deux sauvages d'hier soir?

- tu n as pas aimé ?

- si monsieur je l'avoue mais quand même, aller faire la pute! et dans un bordel!

- tu m as dit que tu m appartenais corps et âme , m aurais tu menti ? et si j ai du plaisir de te voir faire la pute ?

- non monsieur c'est vrai.

- bon d'accord pour cette fois je verrais bien Je vais t accompagner si tu veux , si cela te rassure

J’hésitais un petit moment puis je lui dis :

- non maître ce n'est pas la peine. J'irai ou vous me direz

- alors tu va aller ou je te demande ?

- oui maître

- tu vas aller dans ce bordel , pour moi

- oui Maître je le ferai pour vous

- tu vois rien que de savoir que tu va me faire plaisir je bande.  tu vois que mon pantalon se tend

- oui Maître je vois

Il vient vers moi et me caresse doucement le visage.  je baisse la tête sous la caresse . Sa main roule sur ma joue, ses doigts effleure ma bouche

- hum...  je vous aime maître

- moi aussi et tu es la seule à me faire aussi bander, ma bite te tente ?

- oui Maître oui

- alors va y

je m'agenouille devant lui et je dégrafe son pantalon. Je sors sa queue de son étui et je la caresse un peu. Elle est tendue et je la prends tout de suite dans ma bouche. Je me dis que je me dois de lui donner du plaisir . mon maître gémit sous ta caresse buccale

- Humm!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il me caresse les cheveux pour montrer sa tendresse. Je  pompe la bite tendue, ma langue s'acharne sur le gland et sa corolle.   il bouge dans ma bouche .  la bite se tend encore je la prends complètement au fond de ma gorge. Mon maître sous l effet du plaisir se cambre. Il crie

- que c est bon ma salope , que c est bon

Je le reçois en pleine bouche. Son sperme coule au fond de ma gorge.  ma langue nettoie son sexe encore dans ma bouche et je suce les dernières gouttes de sperme . Mon maître me relève . Je suis debout face a lui. Je lèche des gouttes de sperme qui sont sur le bord de ma bouche.

- Va Nadine mon chauffeur va t accompagner il sait ou t emmener quand tu auras terminer tu peux repasser ici si tu veux

- bien Maître

- tu vas au garage voir le chauffeur

- oui Monsieur.

Je descendais au garage ou le chauffeur du Maître attendait au volant de la voiture.. Il me conduit , pendant la route il me demande ,

- vous me plaisez soyez sympa laisser moi vous caresser un peu

- je regrette Monsieur mon Maître ne m'a pas dit de vous obéir

- je vous plait pas ?

- la question n'est pas la.

Le chauffeur râle et me conduit chez les deux libanais , ils habitent une villa cossue .  le chauffeur me fait rentrer et je remarque qu il reste dehors . Je rentre seule . je pénètre dans le vestibule. Une jeune femme arrive et me demande

- tu es la nouvelle pute ?

- oui Madame. C'est Maître H qui m'envoie

- d accord viens avec moi ,

Je la suis et rentre dans une pièce ou il y a d autres femmes qui attendent. elle me dit

- reste la on viendra te chercher

Je suis debout dans la pièce. il y a la plusieurs autres femmes toutes habillées très putes, soit en déshabillé, d'autre sont en guêpières, une totalement nue avec juste un serre taille, certaines sont très jeunes ce qui me frappe, certaines portent des anneaux au sexe ou aux seins, des piercings des tatouages.  elles me regardent et une d'elle s'approche de moi et me dit

- tu es déjà venue?

- non . C’est la première fois.

Elles me demande a qui j'appartiens. je leur répond que mon maître s'appelle maître H.   L a matrone qui se trouve au loin dis

- oui c est la nouvelle de ce soir une vrai salope a dit Monsieur E

-  vraiment me disent elles

Je leur réponds que je peux être très salope en effet. Une jeune fille viens vers moi et dis

- tu sais comment cela se passe , tu pourrais m apprendre moi c est la première fois

- tu sais c'est comme si tu faisais l'amour avec ton chéri.

La fille est très jeune ; je me demande si elle est majeure. Sans doute pas….  elle sourit rassuré par ma réponse ,

- je pourrais aller avec toi ?

- je ne sais pas si c'est possible ici .   c'est aussi la première fois que je viens

- je croyais que tu étais une vraie pute ?

- oui c'est un peu ça mais je n'ai jamais vraiment fait la pute, juste des hommes a qui mon maître m'a prêtée  ou louée

Je demande aux autres :

- on doit faire beaucoup de clients ?

Puis à la gamine :

- mais si c'est possible je veux bien que tu viennes avec moi. pourquoi es tu ici? comment t'appelles tu?

- moi c est flore dis la jeune fille

Elle serre ma main. La matrone surgit et dis

- toi , toi et toi la nouvelle venez

Elle me désigne et je me lève en même temps que deux autres filles. Nous avançons vers elle. je demande a la matrone :

- flore nous suit?

en même temps j'avance vers l'inconnu.  elle la regarde et dit

- pourquoi pas flore viens , avec la nouvelle

Je rentre dans un salon baigné par une lumière tamisée . La pièce est plongée dans une semi obscurité . Je distingue plusieurs hommes ils nous regardent. Flore me tient toujours la main . Autour de nous plusieurs hommes attendent . Ils nous regardent attentivement . je les sens qui nous jaugent comme des bêtes de foire .  un gros viens vers nous deux .   il me touche comme du bétail . Il palpe mes seins, ouvre mon corsage brusquement pour les regarder, les soupèse. Puis il m'ordonne de relever ma jupe. Mon sexe nu et épilé lui plait. il pose sa main sur ma chatte, introduit un doigt dans ma raie. je mouille de la situation. Puis de dos. Son doigt étudie l'élasticité de mon cul. il dit

- ce doit être du bon

- oui Monsieur je saurais vous donner du plaisir

Il regarde aussi flore qui me donne la main.  il veut écarter les bretelles de sa robe. Flore a un geste de recul .  la matrone accourt aussitôt, passe derrière Flore et l’attrapant par les cheveux elle la pousse vers l'homme en lui maintenant les poignets dans le dos.  il la palpe alors. Elle a de gros seins pour son âge et porte deux anneaux sur les deux pointes des seins. Il tire dessus. la gamine pleure.  l homme se retourne vers la matrone

- et pour les deux tu fais un prix ?

- venez lui dit elle.

Ils s'écartent de nous et discutent. L'homme paye et revient vers nous. Flore me serre la main. la matrone me dit chambre 10 au deuxième étage .  et prends les serviettes. apprends à la petite à devenir salope comme toi

Flore porte une petite robe fine à bretelles avec un grand décolleté. la robe est courte et vole facilement. Elle ressemble un peu a ma fille lorsqu'elle avait 15 ans. Elle porte des chaussures à talons plats et des socquettes blanches.   je prends des serviettes et me dirige vers la chambre qui m'a été indiquée. je monte juste derrière Flore et devant l'homme. Il est gros et souffles dans l'escalier.:  j'ouvre la porte de la chambre 10. elle est chaude et accueillante. Un grand lit rond trône dans un coin. En face une TV et un lecteur de CD et de cassettes. Au mur une croix de saint andré. Au plafond deux poutres qui se croisent avec un pilier central. Des anneaux pendant de la poutre. Sur une petite table il y a des préservatifs, des cravaches, des godes, des épingles, des poids et des pinces. Dans l'autre coin un lavabo et un bidet.  l homme referme la porte .  il vient vers moi et se serre contre moi. nous sommes maintenant seules avec lui.  il passe sa main sous ma mini jupe .  je le laisse faire et me prête même a ses caresses. Flore s'est mise dans un coin du lit et regarde la scène. Il bande . ses doigts caressent mes fesses et ma chatte.  il me déshabille .  je le sens pointer a travers son pantalon. Je lui dis

- vous ne vous déshabillez pas?

Il se met nu . il arrache littéralement mon corsage et je l'aide a faire glisser la jupette.  il a une grosse bite

- Vous voulez que la petite fasse pareil?

- Bien sur à poil

Etonnante sa queue, avec un sexe en champignon, un gros gland surmontant une hampe grosse et raide. Flore commence à faire glisser sa robe. Dessous elle porte juste un string rouge à dentelles. elle le garde sur elle. Il dit à Flore :

- approche toi j ai payé pour toi

Elle s'approche et vient se coller à moi. L'homme la fait mettre dos a dos avec moi et plaque ses mains sur ses seins. J'entend Flore se plaindre. il doit la peloter et la malaxer jusqu'a la douleur. elle bouge contre moi. je suis entre elle et l'homme. je sens l'énorme queue pointer contre mon ventre. J'écarte les cuisses et je joue du bassin pour lui offrir la possibilité de me pénétrer.  flore te regarde apeurée.  je la rassure du regard lorsque je peux croiser le sien. Il lui ordonne d'ôter sa culotte. la gamine me regarde apeurée? je fais un signe d'encouragement. Elle se retrouve nue, avec juste ses socquettes au pied et ses chaussures.  je l'embrase ce qui semble plaire a l'homme. Il nous pousse toutes les deux vers le lit et nous jette carrément dessus. il s'effondre sur moi et me pénètre brutalement. il s enfonce en moi.  Soudain il se relève et prend Flore par la main. Il attache ses poignets à un anneau de la poutre au plafond. Flore ne touche plus le sol que du bout des orteils. Il attrape une cravache et m'ordonne de la cravacher. Je prends la cravache et commence à frapper Flore avec modération. Il passe derrière moi et m'encule sauvagement en même temps qu'il me dit

- je veux la voir souffrir. frappe plus fort

Flore crie . je n’obéis pas vraiment retenant mes coups bien que Flore est en pleurs. il s'enfonce de plus en plus profondément dans mon cul; la douleur est intense et le plaisir commence à monter en moi. Je ne sais plus très bien ce que je fais et mes coups pleuvent sur le corps de la fille suspendue au plafond. Dans un demi conscience je l'entends crier. L'homme me donne des coups de boutoir dans le cul.? Puis il se retire au moment ou j'allais jouir. Ca me redonne une partie de ma lucidité et je vois le corps de Flore parcouru de zébrures. Il la détache et la jette sur le lit .  il m'attrape alors les poignets et m'attache à mon tour à la place de Flore. Il se jette ensuite sur elle et la force brutalement. Il la prends et ne tarde pas à jouir en elle. La gamine est exposée comme une poupée sans défense. Puis il revient vers moi. Il prends des pinces et les clipe sur mes lèvres de sexe. Une barre écarte mes chevilles. Il commence à poser des poids de plus en plus lourds. La douleur devient forte. Mes lèvres s'étirent en longueur sur plusieurs centimètres. Il me dit.

- c'est bien tu supporte bien. plus de 800 gr a chaque lèvre. bravo.

Il introduit un gode dans ma chatte et me donne l'ordre de le garder. Je serre mes muscles malgré la douleur provoquée par les poids et les pinces qui entre dans mes chairs. Flore regarde le spectacle. elle pleure encore. L'homme pose alors des pinces sur les tétons de mes seins. Il accroche ensuite des poids. Mes seins me font terriblement mal. Il pose aussi 8OO gr a chaque sein.

- Tu es belle ainsi ma pute.

Le gode glisse entre mes jambes. il s'énerve et m'engonce un autre plug dans le cul. Il pose en suite deux électrodes sur mes seins et change le gode de la chatte par une gode métallique .  il le maintient avec un rouleau de scotch. puis il sort un petit appareil qu'il relie au gode et aux deux électrodes collées sur mes seins au dessus des pinces qui entrent dans mes chairs. il ordonne alors à Flore de venir s'asseoir sur sa bite tendue a nouveau La gamine doit s'enculer dessus. Elle peine mais il la force en appuyant sur ses épaules.  elle et lui sont face à moi. Il pousse un bouton et tourne un second sur la boite. je ressens alors des décharges électriques me traverser le corps, la douleur s'amplifiant aux endroits ou les pinces entrent dans la chair des seins et du sexe et aussi dans ma chatte. Les ondes traversent le corps. je crie de douleur. il augmente l'intensité.  Flore n'est qu'une poupée entre ses mains. il la soulève régulièrement et la fait se ré empaler sur sa bite. la gamine arrive finalement à en crier de plaisir. Elle va et vient d'elle même sur le sexe.  elle a le visage déformée par le plaisir , elle se caresse les seins , la vue de mon supplice a provoqué chez elle des sensations inconnues . L’homme lui jouit dans le cul . Flore vient me voir et commence à me lécher la chatte meurtrie. L’homme la rejette ensuite brusquement.  la fille s'occupe de moi avec tendresse. L'homme se détourne de nous. Il va pour se rhabiller. Flore me dit ,

- c est la première fois que je jouie autant

Elle m’embrase à pleine bouche. l homme s est habillé et sort de la chambre satisfait. Je demandais à Flore :

- détache moi

Flore détache mes poignets et la barre d'écartement. j'enlève délicatement les pinces de mon sexe et de mes seins. ils sont meurtris par les crocs qui pénétraient dans les chairs. De petits saignements montraient la véracité de leurs pointes. J'allais au lavabo et me nettoyais. je dis à Flore de faire de même pour être nette pour un prochain client peut être. Elle se lave elle aussi. Nous renfilons elle son string et sa robe, moi ma minijupe de cuir rouge et mon chemisier.  je nettoie et range les instruments de torture et les replace. Je prends Flore par la main et nous redescendons voir la matrone. Elle dit aussitôt :

- les gouines il y a du taf !!!  Nadine tu me prend ce client chambre 11 .

- bien Madame.

- toi Flo tu as bien travaille tu vas faire le client chambre 6

Je monte a nouveau devant le nouveau client dans l'escalier. sa main pelote mes fesses. J’ai le pressentiment qu’il vient pour enculer.  en regardant en arrière je vois Flore qui devance un autre homme dans l'escalier. elle me sourit et me lance un baiser. je lui souris a mon tour pour l'encourager . j'arrive devant la chambre 11. j'ouvre et l'homme entre derrière moi. La chambre est une chambre ordinaire avec un grand lit, une installation télé et lecteur de cassettes dans un coin. L'homme referme la porte. Il me jette sur le lit à plat ventre. il relève ma mini jupe et m’encule directement . il a une terrible envie . il pose ses genoux entre mes cuisses. La jupe remontée au dessus de mes fesses je sens la bite s'introduire dans mon cul sans aucune préparation, sans un mot de sa part. je me sens vraiment a cet instant comme un objet vide couilles. très rapidement il va et vient dans mon cul, s'enfonçant jusqu'a la garde. Heureusement que le gode m'avait élargi l'anneau quelques instants avant sinon il m'aurait déchiré avec la violence qu'il mettait à m'empaler. je supportais tout son poids qu'il mettait sur l'enculade forcée. je geignais un peu et je reçus une magistrale baffe alors qu'il me disais Ferme ta gueule la pute. il me traitait de traînée, de salope de chienne. Sa violence mise dans cet enculage me fit peur. il me tenais maintenant par la nuque et continuait à me limer. Je sentais sa queue grossir et il lâcha tout son sperme entre mes fesses en poussant de grands HAHAHAH.  il sort sa bite de mon cul , il me dit

- tu n es qu un garage à bites salope

Je ne savais pas si je devais lui répondre compte tenu de la baffe reçue avant . il sort aussi vite qu’il m’enculé .  je fis profil bas et restais dans la même position . J'entendis la porte claquer et je me retournais lentement, le cul en feu. j'allais vers le bidet et je me lavais avec soins. Après avoir rajusté ma jupe je descendais à nouveau voir la matrone. Elle me dit :

- C’est bien ma poule, tu as bien travaillé , va prendre du repos dans le salon avec Flore

- Merci Madame.

Je revenais dans le salon. Je remarquais tout de suite que Flore n'était pas encore revenue. mes seins me faisaient encore mal et la douleur de mon cul restait présente.   au bout d un instant flore apparaît. elle dit

- j ai fait une belle pipe avec le 9

Je lui souris et dit.

- Tu es une bonne fille. Tu as encore mal?

- un peu mais tu sais j ai ressenti quelque chose une sorte de plaisir  à la fois du mal et du bien tu comprends est normal ?

Je lui demandais comment elle était arrivée dans ce bordel. Elle me dit qu'elle s'était enfuie de chez ses parents, quelle avait traînée dans les rues de la ville quelques temps? Puis elle avait rencontré Francis un petit copain. ils avaient fait l'amour. Elle était follement amoureuse de lui. Il lui avait fait poser ses anneaux aux seins dans une arrière boutique de sex shop. elle avait du "payer "les anneaux en baisant avec le type. et hier soir il lui avait fait jurer de lui obéir. ce soir il l'avait amené. Je la pris dans mes bras pour la réconforter. Soudain elle se mit à pleurer. Elle venait de comprendre que son petit copain ne l'aimait peut être pas autant qu'elle l’aimait. elle me dit

- tu crois que c'est normal qu'il m'ait demandé ça?

- je ne sais pas. peut être voulait il te pousser a bout pour voir si tu acceptais tout pour lui. Tu devrais prendre ça comme une preuve d'amour à son encontre. Peut être…

Elle se penche vers moi et m’embrasse tendrement. Je la sens prête à s abandonner confiante en moi.  je lui rends son baiser; les autres filles jactent et se moquent. certaines comprennent.  d'autres ironisent. les filles entre elles sont des salopes .  je serrais Flore fortement dans mes bras comme s'il s'était agi de ma propre fille. Elle me dit

- ne me laisse pas Nadine

- je ne suis pas totalement libre moi non plus. J'ai un Maître. je me dois de lui obéir. S'il me renvoie ici peut être pourrais je te rencontrer a nouveau.

- Peut être…

- ou alors si tu veux on pourrait se voir la journée dehors.

Elle était au lycée en seconde avant de fuir de chez ses parents. La matrone arrive, nous vois et dis ,

- si tu veux te la faire il y a une chambre avec ce qu il faut

- Non madame. je ne pense pas que Flore cherche ça ce soir

- bien alors laisse la apprendre son travail il y a un client, le dernier pour toi

- oui Madame

Je me lève et la suis

- tu vas au 10, prends la serviette !

- oui Madame.

C’est un beau métis . Il me suit dans l’escalier.  j'essaie de l'exciter en roulant des hanches. Il me met la main au cul .  je ralentis la montée pour lui faciliter la caresse .  il me dit

- j ai une grosse queue pour toi

- vous allez me montrer ça monsieur

Excité il te met contre le mur.  nous arrivons devant la chambre 10 que j'avais déjà utilisée ce soir.  le lit est refait.   l homme à peine rentré sort sa bite et dit

- regarde tu en as vu d aussi longue ?

La bite est superbe, même excessivement longue. C'en est surprenant. elle fait au moins une trentaine de centimètres.  Vu sa longueur elle parait fine . Il me regarde avec envie , il se couche sur le dos et me fait monter sur lui pour que je m’empale. Sa bite bande et se gonfle de sève. Je m'installe au dessus de lui en l'enjambant et je remonte ma jupe sur mes reins.  il remarque les marques sur mon corps , sur mes seins .  il prends les pinces et les attaches sur mes seins .  la douleur remonte aussitôt sous l'emprise des crocs des pinces en acier qui a nouveau entrent dans la chair tendre de mes seins . il les maintien pour me faire mal . une larme due à la douleur perle de mes yeux, ce qui semble l'exciter. il les serre et les fait pivoter. Les élans de la douleur sont fulgurants .  il bouge fort et je sens sa queue frapper le fond. En même temps sa queue bandée glisse dans ma chatte et me remplit très vite en cognant au fond de mon vagin .  il tressaute rapidement .  ses coups de queue font balancer mes seins ce qui aussi augmente la douleur lancinante . il me dis

- tu aimes salope tu aimes

Il me regarde souffrir

- oui Monsieur oui encore baisez moi plus vite

Je commence a me cambrer.  il voit que malgré la douleur j’ai un soupçon de plaisir.  je relève le torse ce qui provoque l'extension des chairs de mes seins, tirant sur les mâchoires des pinces qui me laissent l'impression de s'enfoncer encore plus dans la chair autour des tétons.  je suis maintenant bien cambrée, soulevée en rythme par sa queue, les seins tressautant en rythme, les éclats de douleur fulgurants à chaque sursaut des seins. je pose mes mains sur ses cuisses, tendue en arrière, offrant ma poitrine douloureuses à ses mains qui malaxent mes nichons . Il repère que je commence à prendre du plaisir.   il me dit que je vais souffrir longtemps car il va me limer longtemps. sa queue résiste en effet et reste bien tendue et gonflée .  mon plaisir monte en moi malgré la douleur lancinante. C'est terrible de prendre mon plaisir en même temps que je souffre atrocement.  il donne des coups de bite de plus en plus fort. Je grimace et lui commence a venir , il va jouir . il crie

- salope putain !!!!!!!!!!!!!!

Le rythme s'accélère encore je le sens grossir encore et il jette son sperme dans mon vagin. je sens la chaleur du liquide qui m'inonde.  mon plaisir monte aussi crescendo et je jouis pratiquement en même temps. il hurle

- SALOPE SALOPE

A demi inconsciente je murmure des "merci"

- elle aime la bite quelle salope quelle pute

Il jouie et me sourit.  je sais qu'il dit vrai en moi même; même si je suis ici a demi contre mon gré je prends du plaisir dans la honte, l'avilissement d'être une pute, la douleur.…  je lui redis

- merci Monsieur. Vous êtes très fort.

Il se lève content se rhabille et sort en laissant deux billets sur la table.  j'ôte les pinces de mes seins. A nouveau la douleur devient vive. je caresse doucement les pointes pour essayer d'adoucir la douleur. je me lave à nouveau sur le bidet. Puis je rattache le corsage et redescend la jupe sur mes fesses. je redescends vers la matrone  emportant les deux billets. Je demande à la matrone s'ils sont pour moi. elle me dit fifti fifti. Elle arrache un des deux billets et le met dans sa poche.

- tu peux garder le reste. tu as bien travaillé tu peux rentrer chez ton maître.

- merci Madame.

Je jette un coup d’œil en traversant la salle de repos. Flore n'est pas là. Le chauffeur m'attend devant la porte. Sans un mot il m'ouvre la portière et je monte dans la voiture.  le chauffeur roule. Le téléphone sonne ; le chauffeur décroche et dit

- c est pour toi Nadine, au bout du fil ton maître

- allô Nadine

- oui maître

- j ai eu de bons retours de ton travail de ce soir

- merci Maître J'ai fait tout ce que je pouvais pour que vous soyez satisfait

- je suis très content de toi tu es digne de l amour que je te porte

- je vous aime Maire

- je vais te faire un cadeau ;  dans quelques jours je vais donner une grande fête chez moi je voudrais que tu sois a mes cotés

- bien sur Maître j'y serai. Ce sera quand?

- Vendredi soir pour te laisser te reposer

- es tu contente ?

- bien Maître. Normalement je devais travailler mais je me ferai remplacer pour être a votre service

- oui maître merci de la confiance que vous me faites.

- Si c'est une soirée je devrais venir habillée comment?

- Tu dois être la plus belle , la plus séduisante

- robe de soirée?  vers quelle heure dois je être chez vous?  quelle robe choisissez vous dans ma garde robe?

- bien sur cela s impose ; tu va être la reine de la soirée. tu devra être chez moi vers 22H 30

- bien maître

- pour ta garde robe je t enverrais le modèle mais tu devra rayonner pour me faire honneur , honneur à l amour que je te porte

- oui Maître vous pouvez compter sur moi..  qui y aura t il a cette soirée? beaucoup de monde?

- des intimes , trois couples , veux tu inviter quelqu’un ?

- non Monsieur pas particulièrement. Sauf peut être la fille que j'ai rencontrée au bordel si vous pouvez la trouver. Elle s'appelle Flore

- bon si c est ton souhait ! Tu lui prêteras une robe à toi si tu veux je connais ton goût avec elle on seras 7 chiffre de la réalisation complète de l homme

- bien Monsieur nous viendrons ensemble alors. indiquez moi seulement les tenues que vous souhaitez

- toi je te veux en robe noire , elle dans l ensemble transparent assez sexy . ce seras à mon avis une soirée inoubliable

- une dernière question tu as aime ta soirée ?

- oui Maître beaucoup en définitive. je retournerai dans cet établissement si vous le souhaitez

- j en prend note pour l avenir

- merci Monsieur

- je t’aime Nadine

- bonne nuit Maître, je vous aime

bonne nuit

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