Vendredi 17 février 5 17 /02 /Fév 21:46

 

Depuis quelques jours Maître Jacques nous avait amenées en « vacance » sur la côte méditerranéenne. Mon mari travaillait. Nous c'est-à-dire Caroline, une autre soumise de Maître Jacques et moi. Caroline travaille dans une clinique et est aide soignante. Nous avons été accueillis dans une petite villa de la côte par Maître G et deux servantes qui s’avèrent être également soumises. Elles portent toujours la même tenue, soit une « robe » de soubrette. La seule chose qui différencie les deux robes, c’est leur couleur. L’une est noire, l’autre rouge. Les deux filles sont dans la trentaine, une est professeur dans un collège, l’autre dans le secrétariat d’une entreprise fermée en Août. Durant leurs vacances, tous les ans elles viennent chez Maître G tenir le rôle de soubrettes esclaves. Elles sont assez belles toutes les deux. Je remarquais d’emblée l’étrange tenue de leurs très gros seins. Ils pointaient malgré leur poids. On m’expliqua vite que Maître G leur injectait régulièrement du sérum physiologique dans leurs mamelles ce qui les faisaient gonfler et les tenaient dans cette position. Leurs robes de soubrette laissaient leurs poitrine nues ce qui laissait l’impression qu’elles jaillissaient comme deux obus.

Nous étions donc chez Maître G depuis quelques jours. Caroline et moi couchions souvent avec Maître G tandis que Jacques le faisait avec les deux soubrettes. Il avait été entendu avec Maître Jacques que nous devions obéissance totale à Maître G comme à lui-même.

C’est Maître G qui organisait les soirées. Nous allons chaque soir en boite où nous devions danser toute la soirée (environ de 1h à 4 heures. Il connaissait bien le gérant de la boite et nous avions des places « réservées » sur des plots aménagés au milieu de la piste de danse. Les plots faisaient environ 1 mètre de haut. Ils étaient sous forme de cylindres de 2m de diamètre. Les maîtres nous aidaient à monter dessus et à descendre quand ils le souhaitaient.

Tout cela n’avait rien d’extraordinaire sauf que nos tenues et nos accessoires changeaient la donne. Caroline et moi devions porter des minijupes évasées que nous avaient fournies Maître G. De plus un anuspicket de 4 cm de diamètre était fiché dans nos anus et bien sur nous ne devions porter aucune culotte. Une plaque sous forme de médaille pendait d’une lèvre du sexe. Elle portait notre nom et celui de notre propriétaire. Certains soirs nous portions une robe, d’autres soirs nous dansions seins nus. Le DJ nous présentait régulièrement et les danseurs poussaient des cris à ces annonces. Il ne cachait rien de nous : noms, lieux d’habitation, notre condition de soumises, nos métiers,… Nous ne sommes pas des danseuses professionnelles loin s’en faut mais nos tenues et la vue qu’elles occasionnaient pour les danseurs dessous suffisaient à rassembler les gens autour de nos deux plots.

La journée devait être consacrée à bronzer en intégral, soit sur la plage où nos Maîtres nous accompagnaient, soit sur la terrasse de la villa. Nous avions pris en quelques jours une belle teinte cuivrée.

Puis vint la journée du 10 Août. Nos Maîtres nous annoncent qu’il n’y aura pas de sortie le soir en boite, que nous devions nous reposer pour être en forme le lendemain soir. Sur le moment j’en fus ravie. Ils rajoutèrent qu’ils nous demanderaient alors de danser « pratiquement nues » et que nous ne serions pas autorisées à refuser quoi que ce soit de la soirée. Aucune explication supplémentaire ne nous fut donnée. Il nous fut indiqué que nos tenues nous seraient données également le lendemain soir. La journée du vendredi se passa dans le plus grand calme en dehors de quelques baises avec nos Maîtres. Nous avons même assistées à l’injection de sérum dans les seins des deux servantes avec une grosse seringue et une aiguille. Bronzage et repos furent de la partie tout le vendredi après midi. La soirée fut courte et nous avons du aller nous coucher vers minuit. Le samedi la journée se passa également dans le calme, au soleil. Après un frugal repas du soir nous avons du monter dans une chambre à l’étage où nous avons été enfermées à clef par Maître G. de 8 heures à 22h, heure ou les maîtres vinrent nous chercher. Ils nous conduisirent dans une autre pièce où se trouvaient une grande table équipée comme un donjon SM. Nous dûmes nous allonger côte à côte mais tête bêche. Les poignets furent liés et attachés au dessus de la tête, une large ceinture entoura nos ventres puis furent serrées nous immobilisant. J’étais inquiète. Les jambes furent mises dans des étriers de gynécologie et relevées laissant nos sexes bien découverts. Ils nous expliquèrent alors ce qu’ils voulaient : ils allaient nous offrir la chance d’avoir nos seins gonflés comme les deux soubrettes. « Ca devrait faire de l’effet sur la piste de danse » dit Maître G. Mon Maître acquiesçait aussitôt en souriant. Ils plantèrent deux grosses aiguilles dans chacune de nos seins et laissèrent couler goutte à goutte le contenu de perfusions de sérum physiologique ce qui déclanchât rapidement des douleurs dans les seins. Ils passèrent ainsi 100 cc à Caroline et 120 cc pour chacun de mes seins « puisque j’avait une plus forte poitrine !

Puis ils s’intéressèrent à nos sexes. Maître G officiât sur nous deux . Il nous perçât le capuchon du clitoris pour y poser directement l’anneau retenant notre plaque d’appartenance qui pendait désormais sur le sexe. La douleur fut la aussi très vive.

Nous avons ensuite été libérées de nos liens. Ils nous firent remettre deux autres anuspickets un peu plus gros, d’environ 6 cm de diamètre. Puis nous offrirent nos tenues. Ils nous firent enfiler des bas . Ils étaient retenus par deux jarretelles elles même clipées sur les anneaux du sexe ; deux devant et deux derrière. Ceci laissait notre sexe grand ouvert dès que nos jambes étaient légèrement ouvertes, la plaque tombant dedans en tirant et en excitant le clito à chaque mouvement. Ils nous donnèrent des chaussures à semelle compensée de 5 cm mais avec des talons aiguille de 20 cm. Perchées sur ces « échasses » nous avons posé notre « jupe » sur nos hanches. Il s’agissait en fait de 4 pans de tissus qui descendaient à peine à la limite des fesses derrière et du sexe devant. A l’arrière les deux pans étaient découpés de manière à laisser bien visible la raie des fesses et le cul. Devant les extrémités basses du tissus furent clipées sur les jarretelles de manière à offrir dans leur encadré nos sexes aux regards. Nous étions plus « déshabillées » que nues !

Après nous avoir posé un collier de cuir muni d’un mousqueton et d’une laisse, ils nous ont cravaché les cuisses pour nous marquer pour la soirée : 4 coups sur chaque devant des cuisses, deux sur chaque fesse, deux sur chaque sein. Puis ils nous ont ramenées dans la chambre. Nous avions une heure pour nous habituer. Les perfusions de Caroline étaient terminées, mais j’avait toujours les deux aiguilles plantées dans mes seins et la perfusion qui continuait de couler. Caroline s’allongea sur le lit, en pleurs tellement ses seins la brûlaient. J’avais aussi très mal et je décidais de passer le temps en surfant sur le net et en me mettant à la disposition de correspondants comme mon maître l’exige de moi habituellement. Je discutait un moment avec Maître JY avec qui je correspondait depuis plusieurs mois.

Le liquide passé j’attendais que nos Maîtres remontent pour enlever ces aiguilles. Il était environ 23h30 lorsque j’en fus débarrassée. J’avais des seins durs comme de la pierre, tendus à l’extrême. Je me demandais comment j’allais pouvoir danser avec ces masses douloureuses.

C’est vers 1 heure que nos Maîtres vinrent nous chercher. Nous avons été conduites dans la voiture où se trouvaient déjà les deux servantes habillées dans des robes fourreau laissant elles aussi leurs seins libres justes recouverts d’une mousseline très fine nouée devant.. Avant de monter en voiture on nous mis sur les épaules une cape de tissus rouge qu’ils attachèrent devant par un unique bouton au niveau de la taille. Je remarquais aussitôt qu’elle s’ouvraient facilement en haut et sans doute en bas, leur forme ayant tendance à tirer le tissus en arrière.

La voiture s’arrêta sur un petit square. Ils nous demandèrent de descendre. Les deux serveuses et nous deux étions maintenant debout sur le trottoir à côté de la voiture. Les deux Maîtres regardaient autour d’eux comme pour chercher quelqu’un. Ils avaient chacun d’eux une des soubrette au bras et tenaient chacune d’entre nous avec la laisse. Nous sommes restés prés de 10 minutes ainsi, exposées au regards de certains passants. Puis un homme descendit d’une voiture qui le déposait là avant de repartir. Maitre G s’adressa à lui. Il lui soihta le lonsoir et nous présenta à l’homme. Ce dernier fit sauter les boutons des capes nous observant minutieusement. Comme il y avait du passage nous le suivirent traînées en laisse par nos maîtres. Sous un porche il reprit l’inspection. Nos capes nous furent enlevées il nous fit marcher un peu, baisser en avant, tata nos seins. Il dit que tout était ok. Maître G lui dit que nous n’étions pas des pro. Il dit qu’il s’en moquait pourvu que nous donnions satisfaction.

Nous le suivîmes dans trois petites ruelles de la vieille ville jusqu’à une porte type « entr »e des artistes ». Nous avons été à nouveau débarrassées de nos capes, les deux serveuses de leurs mousseline. Maître G dit à l’homme : « je te les laisses ». Elles ne refuseront rien ». et il disparut avec mon Maître et les deux soubrettes. Cet homme, Monsieur Pierre, était le patron de cette boite. Il nous amena en laisse jusque dans les coulisses juste derrière une petite scène . Il nous expliqua que nous devrions danser sur cette scène jusqu’à ce qu’il nous demande à nouveau. La scène donnait juste au dessus de la piste de danse. Elle était faite de verre et on voyait dessous une autre piste où se trémoussaient d’autres personnes . je pensais alors que s’ils étaient amenés à lever la tête ils seraient surpris du spectacle…

Le patron monta su scène et nous appela une à une pour nous présenter comme des esclaves mises à sa disposition ce soir. « elles vont danser pour vous … dans leurs tenues spécialement apprêtées par leurs propriétaires… ne ratez rien du spectacle qu’elles vont vous offrir bien malgré elles… ensuite Mesdames et Messieurs elles vous rejoindront dans la salle. Elles ne vous refuseront rien du domaine des caresses d’informations intimes… Ensuite elles remonteront ici danser jusqu’au bouquet final dont je vous laisse pour le moment dans l’ignorance… »

Nous nous sommes retrouvées en scène et avons commencées à danser. Nous nous aidions de trois barres dressées sur la scène. Nous ne cachions rien de nos attributs , seins offerts outrageusement, sexe toujours grand ouvert , clito surexcité… Lorsque nous devenions pas assez remuantes, le DJ nous reprenait en excitant la foule des danseurs et des voyeurs. Pour ma part la douleur était intense, aussi bien mes seins que le gros anuspicket qui distendait mes chairs de l’anus. Je voyais parfois caroline pleurer tout en dansant. J’en faisais de même à d’autres moments. J’avais une forte honte , surtout lorsque je voyais les nombreux crépitements des flash. Nos visages n’étaient nullement protégés. Certains même tournaient en vidéo à partir d’appareils photos numériques ou bien avec leurs téléphones portables. Le bouche à oreilles dut se faire dans la ville car nous assistions à la venue de groupe de personnes de plus en plus nombreux. Et si ces photos et vidéos étaient mises sur internet. A coup sur cela ne manquerait pas…

La soirée fut longue, ma démarche sur ces talons était difficile, la honte su sexe ouvert et exposé, la douleur de mon cul distendu par l’anuspicket et surtout la lancinante et forte douleur de mes deux seins qui se trémoussaient au rythme de la musique et qui à chaque mouvement m’arrachaient des plaintes. J’étais concentrée sur eux et du coup le reste comptait peu pour moi. Enfin le patron nous appela pour que nous descendions nos présenter dans la salle. Il nous reposa nos laisses et nous tira vers la salle. Je manquais tomber en descendant les quelques marches, tirant de ce fait sur les lèvres de mon sexe et provoquant une douleur. Il envoya Carolone dans un coin de la salle et me dit de commencer par un autre endroit. Table par table était sa consigne. Ce que je fis. Pendant ce temps la scène était prise par un trio, deux mecs et une fille, nue, suspendue à un palan, nue, jambes écartées par une barre . les deux hommes étaient en train de la fouetter. Les marques laissaient des filets de sang là ou le fouet s’enroulait. Elle portait un bâillon. Il fut expliqué que cette fille était en dressage et avait désobéis à son Maître. Sans bâillon ses hurlements se seraient entendus de la salle en dessous j’en étais sure. Je savais que je ne pouvais refuser aucun renseignement ni aucune caresses. Les clients ne se génèrent d’ailleurs pas, qui, tout en regardant le spectacle de la fille fouettée au sang, entrait ses doigts dans ma chatte qui pelottait mes seins, qui m’humiliait de paroles acerbes, me traitant de pute, de salope… Pratiquement tous voulurent savoir comment me joindre. Je les adressait à mon Maître. G et J les recevaient et leur donnait une petite carte avec un n° de téléphone et une adresse internet. Cela promettait j’en étais sure. Ils tiraient sur l’anuspicket, le faisant aller et venir… Nous finîmes notre virée dans la salle par la table de nos Maîtres qui étaient entrain de se faire sucer par les deux servantes. Nous pûmes nous asseoir avec eux quelques instants, je remarquais alors que cette partie de la boite (il y avait l’officielle en bas) était réservée à qui montrait patte blanche. D’aspect un peu sordide d’ailleurs. La fille était toujours fouettée, depuis au moins une demi heure. Elle venait de s’évanouir, la tête ballante. J’eu peur qu’elle ne fut morte mais deux nouveaux coups sur ses seins la refirent revenir à la conscience. Elle ne résistait plus, se contentant de gémir et de se tordre à chaque coup.

Quand elle fut marquée de partout, elle fut descendue du palan et traînée en coulisses.

Nous fumes immédiatement rappelées sur scène et nous dûmes reprendre notre exhibition.

Cela dura encore prés d’une heure avant que le patron de la boite ne monta sur scène entre nous deux et dit qu’avec la permission de nos propriétaires, nous allions être mises aux enchères. Ceux qui mettront les enchères les plus hautes pourront nous enculer dans la salle. Je me souvenais des paroles de Maître G : « vous ne pourrez rien refuser » ! Les enchères commencèrent à monter pour chacune d’entre nous alternativement. Finalement ce fut un jeune mec , la trentaine qui solda pour Caroline. Elle dut descendre le rejoindre dans la salle. Mes enchères furent très vite terminées ensuite. Je descendis rejoindre l’homme qui m’avait achetée : gros un peu plus de 50 ans. Nous leur fumes livrés seins aplatis contre une table, jambes ouvertes. Nos anuspicket nous furent arrachés et remplacées par une queue de bonne dimension. Ils m’enfilèrent sans aucune peine et me lima plusieurs minutes. Je sentais son sexe gonflé me ramoner le cul, emprisonné dans son préservatif. Finalement il ôta la capote pour éjaculer sur les reins. J’étais follement excitée de la situation où se mêlait honte, avilissement et plaisir. L’anneau de la médaille excitait continuellement le clito et je jouissais comme je l’avais fait au moins à trois reprises en dansant.

Nous fumes ensuite livrées à toutes les queues des mecs présents dans la salle pendant une petite heure avant que nos Maîtres ne nous ramenassent chez Maître Georges.

Ce dernier nous dit alors : ce soir pas de sortie mais vous serez en tenue pour recevoir nos convives. Il nous fit comprendre qu’il s’agissait des personnes qui avaient été les voir au cours de la soirée. La prochaine nuit s’annonçait très chaude…

Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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