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Sympa ton visiteur d’hier soir ? me demande mon Maitre.

Il sait pourtant pertinemment que j’ai souffert. Je suis devant lui quant il me pose cette question. Des marques sont visibles sur mon visage par endroit tuméfié et sur mes jambes dont les coups de cravache ont laissé de longues traces sur les cuisses sous la minijupe.

Je lui répond qu’au début oui, il était sympathique, mais que bien vite il a été violent ; mais je m'en suis doutée en voyant le niveau accordé par mon Maitre : le 5. Soit » tout permis » . C’était en effet lui qui me l’avait adressé comme d’autres certaisn soir s où mon cocu de mari est absent du domicile conjugal.

Au début c'était presque irréel. Il s'est comporté comme s'il avait été invité. il a même porté des fleurs!!! Moi je portais un tailleur gris avec une jupe juste un peu trop courte et qui aurait dénoté dans une assemblée mondaine, des bas dim up noirs. J’avais un énorme anuspicket de 10 cm de diamètre enfiché dans mon cul et un collier de cuir avec un anneau autour du cou. Je portais une bague avec un anneau à mon annulaire droit, symbole de ma soumission.

Nous avons discuté de choses et d'autres, assis sur deux fauteuils dans le salon.

Je lui ai offert à boire. Il a tenu que je boive avec lui.

Et puis il m'a dit "tu sais pourquoi je suis là" J'ai répondu "Oui Monsieur"

« Tu seras obeissante? » « Oui Monsieur »

Il m'a ensuite demandé de relever la jupe, ce que j'ai immédiatement fait devant lui. Il m'a faite tourner sur moi pour lui présenter les fesses, puis m'a faite pencher en avant pour bien montrer mon cul engodé

J'ai eu l'impression que ça l'a mis dans un état d'excitation énorme. Il m'a attrapé les cheveux, m'a envoyé un aller retour de gifles, m'a fait mettre à genoux et j'ai du le sucer. Il tenait mes cheveux et accompagnant les mouvements de ma tête, m’enfonçant sa grosse queue jusqu’au fond de la gorge.

Il s'est vidé une première fois dans ma bouche, suivi de deux nouvelles gifles et de l'ordre d'enlever ma veste. Dessous j'étais bien sur topless, anneaux aux seins. Il s'est emparé sauvagement de mes deux mamelles et les a lentement mais fortement malaxées, tirant sur les tétons avec les anneaux, les frappant à coup de poing comme s'il frappait dans un punching ball!

Il m'a fait mettre debout les mains sur la tète et a continué à frapper mes seins à coup de poings. Les marques ont bientôt marqué la peau qui est devenue violacée. La douleur était bien sur intense. De temps en temps je recevais des claques sur le visage. Il me traitait de pute, de sale trainée, de salope.

Tout cela a duré une bonne demi-heure. Mes seins étaient tous bleus. Ensuite il a demandé une corde et les a bondagés en serrant fortement à leur base, faisant d'eux deux gros obus qui pointaient devant moi. Il a recommencé à les frapper puis j'ai du aller chercher des aiguilles. J'avais une boite d'aiguilles intramusculaires et il a entrepris de les planter en travers de mes aréoles en croix, puis il a planté perpendiculairement une aiguille sur chaque téton, l'enfonçant jusqu'à la garde.

La douleur était terrible et j'étais a deux doigts de m'évanouir. Il a alors repris les gifles ce qui m'a, en même temps, "ramenée" à la réalité. Les aiguilles enlevées sauf les deux plantées dans mes tétons, il a pris la cravache et m'a marquée une vingtaine de fois sur les seins offerts comme des obus, alors que j'avais du me mettre à genoux et tendre la poitrine en faisant le pont.

Il a ensuite dit qu'il allait s'occuper de mon cul. La jupe a du tomber. J'étais en bas noirs avec des talons hauts de 18 cm et semelles compensées. J'ai du le conduire jusqu'à ma chambre. Il me tenait fortement par les cheveux et me fouettait les fesses avec la cravache. Arrivés dans la chambre conjugale il m'a jetée sur le lit et a recommencé à me frapper avec un martinet, sur tout le corps, ne cherchant même pas à éviter le visage.

Il s'est ensuite déshabillé et a sauté sur le lit, m'intimant l'ordre d'écarter les cuisses. Il a attaché mes deux poignées au montant haut du lit et rabattu mes jambes vers les poignets. Il a attaché mes chevilles avec les poignets.

J'étais offerte sexe et cul bien en évidence. Il a repris le martinet et a frappé systématiquement et longuement ma chatte.

Puis il a tiré sur les anneaux de ma chatte et les a passé dans deux anneaux reliés par une corde qu'il a fait passer sous mes cuisses et attachés de chaque coté du lit, obligeant ma chatte à être en permanence ouverte.

Il est sorti quelques instants de la chambre me laissant seule avec ma douleur. Quant il est revenu il tenait une bouteille de vinaigre et un paquet de coton trouvés dans ma cuisine et dans la salle de bain.

Il a imbibé le coton de vinaigre et en a introduit des boulles dans ma chatte, provoquant une douleur insoutenable, laissant l'impression qu'il me brulait le vagin. J'ai hurlé à ce moment la. Il m'a alors bâillonnée.

Puis il s'est mis à jouer avec mon anuspicket, le trouvant énorme, "digne d'une pute à ânes". Il l'a remis en place plusieurs fois. Puis il a ôté le coton et m'a baisée sauvagement. Aucun plaisir pour moi bien sur, la douleur était affreuse.

Il s'est vidé en moi, sans préservatifs. J'ai su ensuite que Jacques lui avait donné son accord.

J'ai, plus tard, du le sucer à nouveau pour lui redonner vigueur. Il m'a enculée à ce moment là. Puis il est parti sur le coup des 3 heures du matin, non sans m'avoir à nouveau donné une raclée à coups de gifles, de poings et de cravache.

J’étais douloureuse de partout, totalement épuisée. Je me suis endormie presque aussitôt jusqu'à ce matin.