Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 22:53

 

"Libères toi pour 15 jours, tu partiras pour Toulouse lundi prochain.
Je t'ai prêtée à un ami, il viendra te chercher à la gare.
Je compte sur toi, Nadine, pour être toute à son service,
2 semaines où tu devras assurer un service à la personne.
Comme si c'était pour moi, tu seras punie pour toute désobéissance..."
- Maître chéri, tu peux compter sur moi.

Lundi 23 Avril, je suis dans le train, direction Toulouse.
Mon Maître Jacques a raison de compter sur moi, car je lui appartiens totalement...
Pour une fois je voyage sans bagage en tenue presque normale, une peu stressée car
Jacques ne m'a pas donnée d'autres explications sur les deux semaines à venir.
Descendue du train à Toulouse, un homme m'accosta ...

- Suivez moi, Madame Laspe, mon patron vous attend dehors.

Forcément que je l'ai suivi mais sans savoir ce que je faisais,
un noeud dans le ventre, les jambes flagada et la tête prête à exploser... - Montez donc Madame, nous avons de la route à faire.
- Bien, Bonjour Monsieur !

Lui et son chauffeur semblaient ignorer la politesse, point de bonjour...
Je n'avais donc que le choix de monter en voiture. - Edwardo, vas y roules, ne traînons pas. Nadine travaille ce soir.

Travail ? Où ? Comment ? Pour qui ?
Si d'avoir aucune force dans mes jambes n'était pas grave vu que j'étais assise,
j'avais en plus la gorge nouée et étais dans l'impossibilité de parler...
La voiture s'engageait sur l'autoroute en direction de Narbonne et le Patron
n'avait cessé de fumer tout en m'inspectant de la tête aux pieds - Jacques a raison, tu es encore pas mal pour ton âge !
- Tu devrais avoir du succès et bien bosser dans mon club ?

- Je ferai comme vous vous voudrez, Monsieur !

A son fort accent, j'avais deviné qu'il était espagnol et propriétaire d'un club.
Je n'étais pas s'en savoir qu'un club en Espagne n'était rien de plus qu'un bordel...
Jacques m'envoyait donc faire la pute deux semaines, je comptais bien qu'il soit fière de moi...
- Ne perdons pas de temps, signes ton contrat de travail.
- Bien, Monsieur !
- Edwardo, dis lui les points forts du règlement.

Un C.D.D. en espagnol...
Puisque c'était une idée à Jacques, je signais et paraphais les pages sans discuter. - Les horaires de travail de 21H00 à 4 H 00, sans jour de repos vu ton contrat.
- Interdiction de refuser quoi que ce soit à un client qui paye le tarif affiché.
- Au salon d'attente une tenue très dénudée conseillée, je t'aiderai à choisir...
- Je serai ton coach et t'aurai à l'oeil en permanence, tu m'as compris ?

- Bien Monsieur !
- Tu peux appeler Edwardo, Maître comme le font les esclaves, Nadine !
- Comme vous voudrez, Monsieur!
- Il est convenu que tu devras gagner 1500 €uros minimum par jour...
- Jacques m'a dit pouvoir compter sur toi pour payer de ta personne ?
- 1500 ? Cela fait beaucoup, Monsieur.

A mon âge, je savais, par oui dire, que j'allais avoir de la concurrence
notamment des jeunes et belles jeunes filles venant des pays de l'Est... - Ma cocotte, pour des deux premiers jours, 1000€uros sera bien...
- Ensuite ce sera 1500 ou tu devras palier au manque à gagner.

- Comment ça, palier ? Que devrais je faire... Maître ?
- Patron, on lui dit ?
- Jacques m'a beaucoup parlé de ton aptitude à souffrir pour son plaisir...
- Aussi nous avons décidé que si tu manquais de gain, tu complèteras en box privé.
- Edwardo te proposera à des clients amateurs de S-M. si tu ne fais pas ton chiffre.

- Bien, Monsieur !

Que faire la pute m'avait paru un peu léger, Jacques m'avait pas cette habitude là,
lorsqu'il me trouvait de l'occupation que je devinais très lucratif pour lui ce dont
j'en étais très fière et prête à tout pour satisfaire ses généreux amis amateurs de mes services. - Pour ton premier séjour, tout devrait bien se passer, non ?
- Je le pense aussi, Maître !

L'esprit occupé, je n'avais même pas vu que l'on était entré en Espagne.
La Joncquera ou plus exactement le CLUB HÔTEL RESTAURANT de mon patron m'apparu
immense et majestueux mais très calme en ce début d'après midi...

- Edwardo, tu lui montres sa chambre ...
- Occupes toi d'elle, tu en as l'habitude !

- Vous inquiétez pas, patron ! Nadine est entre de bonnes mains...


Un peu nunuche, je le suivis toute pressée de découvrir ma chambre d'hôtel...
Grande chambre avec lit robuste, salle de bain, plus tôt classe ...
Coté toilettes et hygiène rien à dire d'autant qu'il avait aussi une pharmacie bien achalandée.
Un grand placard mural ouvert semblait attendre des bagages que je n'avais point.

- Mets ton sac à main dans l'armoire, mets toi à poil...
- Gardes ton string, on va visiter les locaux avant de se restaurer...

- A vos ordres, Maître Edwardo ! ! !

Cet Homme aurait pu me plaire s'il n'avait pas été mon garde chiourne.
Sûrement un ancien militaire, car il en avait les manières...

   

- Au moins comme ça, les clients verront la marchandise !
- Tu dois avoir faim la grosse , viens donc déguster !!!

Le salop avait sorti de sa braguette un braquemart, plus qu' honorable
gonflé et tout prêt à exploser ce qui était du à l'effet provoqué
par la grosse que j'étais et qui me donna l'envie, je l'avoue, de le pomper...

- Prends en l'habitude, ici les putes avalent souvent !!!

Il ne me résista pas bien longtemps et j'avalais son sperme chaud à chaque jet
dans ma bouche sans en perdre une goutte, quelques coups de langue et sans attendre
que la bitte ne dégonfle, je la remis prestement dans son slip avant de refermer sa braguette.

- Bien un vraie pro, tu n'as pas volé ton repas !
- Suis moi, on va aller casser une croûte avec les autres !

- A vos ordres, Maître Edwardo !

En string j'avais la honte de le suivre mais j'obéissais...
Une trentaine de filles bien plus jeunes que moi mais pas plus habillées
étaient attablées et dégustaient avec appétit le contenu de leurs assiettes...

- Tu te sers et tu manges ce que tu veux...
- Vers 20h00, je viendrai te chercher dans ta chambre, ok ?

- Comme vous voudrez , Maître Edwardo !

En tout cas je n'allais pas mourir de faim...
Un choix de plats aurait du assurer d'agréables repas si ce n'est que l'ambiance
était détestable. Les Filles, concurrentes pour leur gain, ne se parlaient pas ou peu...
Moi, l'intérimaire, je venais leurs piquer des clients.
Ne connaissant personne, c'est rassasiée que je retournai à ma chambre...

- Alors la grosse, on descend bosser ?
- Heu !!! Je vous suis Maître Edwardo !

Immense salon bar de plus de 20 mètres avec tabourets et tout autour des tables basses avec fauteuils...
Edwardo m'avait expliquée en y venant que les filles devaient se tenir sur les tabourets à la dispositions
des consommateurs qu'elles devaient les servir à une table du salon la commande passée au bar
puis rester à leur disposition en leurs offrant les usages et plaisirs sexuels qu'ils étaient venus chercher.
A 80 €uros pour 30 minutes pour 30 minutes maximum de consommation sexuelles,
plus la moitié de la commande prise au bar ajoutée au gain soit environ 50€ par client,
la baise et sodomie protégées, Fellation-Dégustatation sans capote spécialité du Club,
j'avais calculé que pour faire mon chiffre avant 1H 00, heure prévue par Edwardo pour me contrôler,
Je devais impérativement faire 12 à 15 clients pour ne pas avoir à palier à mon manque à gagner.
8 comme prévu Lundi et Mardi me paraissait possible mais pas plus vue la concurrence..

- Bien ! 1040 €uros, pas mal la vieille !!!
- Merci, Maître Edwardo !

Le salop compta mes gains du le Lundi et le Mardi pendant que je le suçais...
Cela devint vite une habitude chez lui d'user de moi gratuitement...
Au moins 2 fois par jour, pour m'avoir à l'oeil...
Cela ne me préoccupait pas trop, contrairement à la soirée du Mercredi où à Minuit
j'en étais seulement à 5 clients pour 650 € de gain...
il me fallait faire plus de 800 en une heure.

- 1170... C'est tout Nadine ? Tu es loin des 1500 prévus, non ?
- J'ai fait de mon mieux, Maître Edwardo !

Une chance pour moi, le salop ne m'obligea pas à le sucer car je venais
d'offrir à 9 clients la spécialité du CLUB pendant qu'ils sirotaient leur verres au salon...
J'en étais gavée !

- Tu connais le réglementa ? Un petit tour en box pour manque à gagner...
- Vires ton string, fais toi belle et tu mettras ceci.
- Tu es attendue pour un Extras, grouilles la grosse !

- Comme vous voudrez, Maître Edwardo !

J'avais bien du mal à ne pas l'envoyer se faire voir...
J'avais promis à mon Maître Jacques une obéissance totale durant ce séjour de Service à la personne,
aussi bien sagement je retirai mon string puis de vite faire une retouche à mon maquillage
avant de m'habiller BCBG, tailleur bleu marine avec chemisier blanc transparent sans rien dessous
si ce n'était une paire de bas résille noirs auto fixant avec aux pieds des escarpins hauts talons...

- Pas mal ! J'en connais qui vont apprécier ta classe, Nadine !
- Allons y ma belle ! Plus ce sera long, plus cela rapportera au Patron !

- Bien, je suis prête Maître Edwardo !

Comme un automate, je le suivis au sous sol...
Une lumière tamisée éclairait un long couloir qui donnait accès à au moins une vingtaine de portes.
Toutes numérotées BOX SM 01, SM 02, etc...

- Nous voici arrivés ma belle, tu frappes et tu rentres...
- Souris un peu, tu es là pour que les clients s'amusent, non ?
- Oui Maître Edwardo !

BOX SM ? ? ?
J'en avais la trouille au point de ne pas me rappeler du numéro où je pénétrais
après avoir frapper pour y annoncer mon arrivée...

- On se fait désirer, la pute de France ?
- Bonsoir !!!

L'éclairage concentré sur les murs de la pièce me présentait une panoplie de matériel S-M mais
j'avais du mal à distinguer le visage des deux personnes présentes.
Un spot venait d'éclairer subitement le centre de la pièce et...
J'avais cru que l'on m'arrachait le téton droit tellement j'avais eu mal et avais hurler...
Un des hommes venait ainsi de me mettre sous la lumière du spot...

- C'est bon d'entendre crier une salope de Française, on adore tu sais ?
- Des gros seins et un gros cul ! Une grosse chatte baveuse aussi ?

Un derrière moi, l'autre devant, ces deux vicieux vérifiaient l'état de la marchandise :
Mes seins, ma chatte et mon cul dedans dehors, mes cuisses et mes fesses...
Chemisier et jupe ôtés je m'offrais à ces Messieurs sans aucune protection.
En duo et presque en même temps mon sexe et mon cul,
après avoir été doigtés longuement l'un et l'autre,
recevait la visite sexuelle des verges de mes deux clients et en cadence...

- La pute de Française aime se faire mettre ?
- Ho oui !!!
- La pute de Française aime souffrir ?

En duo pour me mettre, les deux vicieux se montrèrent une sacré paire de sadiques aussi...
Chacun s'occupant d'un mes seins qu'ils ligaturèrent plus que serrés
avant de mettre une horrible pince à chacun de mes tétons pour
ensuite m'attachée à une croix où je leurs offrais mon corps pour un duo
de cravaches que j'étais loin d'imaginer aussi douloureux, à chaque coup je hurlais...

- La pute de France crie comme on aime !

Forcément que je criais, criais...
Par deux les coups de cravache me tombaient dessus, sur mon ventre, sur mes cuisses,
sur mes seins où ils visaient les pinces sans oublier mon sexe ouvert au clitoris sensible...
Je hurlais, hurlais...

- Elle est gourmande la pute Française !
- Elle aime souffrir, on le dira à nos amis...

Je les avais si excités par mes cris qu'à peine prises ensemble dans ma bouche ,
leurs bittes se vidèrent en duo dans ma gorge et, peu fière d'y réussir,
j'en avalais cette double jouissance sans en perdre une goutte...

- Avec toi la pute de France, on s'amuse bien !

Je ne sais comment, mais j'étais arrivée à rejoindre toute seule ma chambre...
Il était pratiquement 4h00 du matin lorsque mes deux clients en eurent assez de moi...

- La pute Française aime souffrir, on le dira à nos amis...

Je ne sais pourquoi mais cette phrase restait présente dans mon esprit...
Croyez moi ou pas mais ce n'est qu'à 17H00 que j'émergeais de mon sommeil réparateur...
Des sels de bain apaisants et parfumés firent de mon bain un agréable moment
pour commencer ma quatrième journée au Club...

- Sors de là et viens prendre ta collation, pute Nadine !
- Ma cola... ? A vos ordres, Maître Edwardo !

En guise de collation, ce salop avait sorti sa grosse queue et,
pour que je commence bien ma quatrième journée de travail,
exigeait la spécialité du Club de ma part histoire de me mettre en appétit...

- C'est la première qui coûte ma belle...
- Un quinzaine ce soir et tu auras gagné tes 1500 €uros !

Comment oublier le goût du sperme et surtout pourquoi Jacques m'avait prêtée
2 semaines au Patron de ce Club espagnol ? impossible !
Obéissante comme promis, j'offris sa Fellation Dégustation à Edwardo...

- Tu trouveras dans cette boite ta tenue pour ce soir...
- Passes à la cantine et à 20h30 je veux te voir au bar, ok ?

- Bien, Maître !

Ma tenue de travail ?

Comme le laissait supposer le couvercle de la boite,
Edwardo avait décidé de me faire la honte en m'obligeant, à mon âge,
à porter un si mini bikini qui allait exhiber mes formes sans en cacher les défauts
tout en attirant les regards car le tissus allait briller à la lumière...
Ma collation à la cantine attira sur moi le regard des autres jeunes filles
dont je devinais le sourire moqueur de me voir ainsi accoutrée...

- T'es belle en bikini, bandante comme pas deux !
- 8H30 ! Tu n'as que jusqu'à Minuit pour faire ton quota...
- Ton Maître et mon patron ont décidé cela pour te motiver au travail !

- Maître Edwardo, mais c'est impossible en trois heures !!!
- Dommage pour toi si tu n'y arrive pas, ma grosse pute !
- 4 heures de service à la personne compenseront cela en box S-M, tu comprends ?

- La vache ! 4 Heures en box ?
- J'ai intérêt à bosser, Maître !

Je comprenais mieux maintenant ce que Jacques, mon Maître, entendait par
service à la personne...
Je sais si c'était mon bikini qui faisait venir à moi les clients, mais
je bossais dur : " Fellation Dégustation " sur Fellation Dégustation,
le fric s'accumulait tout comme le sperme dans mon estomac...

- 1300 €uros... encore deux et tu faisais ton quota mais il est minuit ?
- Comme prévu, tes 4 heures pour manque à gagner feront des clients heureux...
- Vas dans ta chambre,je viendrai te chercher dès que je t'ai trouvée un box. Ok ?

- A vos ordres, Maître Edwardo !

J'en avais les boules de peur et de colère...
J'en pleurais presque de devoir aller en box pour 4 heures car j'avais été à 2 clients
de remplir mon quota avec succès et en seulement 3H 30...
Pas mal pour une femme de mon âge, non ?
- Ôtes ton joli bikini, tu es attendue au BOX S-M en tenue de sport...
Tenue de sport ?

Edwardo visiblement en avait l'habitude car en moins de 2
mes bras et poignets furent collés à mon corps m'en interdisant l'usage...
- Te voilà équipée pour un service à la personne très S-M , Nadine !
- Tes clients de ce soir payent bien et comptent avoir pour leur argent...
- Le patron leurs a vanté tes capacités sans limite , tu comprends ce qui t'attend ?

- Ho oui !!! J'ai compris, Maître Edwardo !
Ce fut à cause de ces et de peur de tomber
que je suivis à petits pas au sous sol Edwardo qui me donnait ses consignes ...
J'en croyais pas mes oreilles ...
- Tu déclineras ton identité et ta qualité de pute punie en entrant...
- Tu remercieras tes clients de t'avoir louée pour passer une bonne soirée ...
- Tu annonceras être ravie et honorée de devoir souffrir pour leur plaisir...
J'en avais la tête qui tournait tant Edwardo répétait en boucle
ses conseils durant les 10 minutes mises à joindre le BOX S-M 20 où
tel un robot télécommandé je pénétrais...
- Madame Nadine LASPE, pute punie pour manque à gagner...
- Ravie que vous m'ayez louée pour souffrir pour votre plaisir !

Presque tout comme il disait Edwardo...
- Je crois que l'on va passer une bonne soirée avec toi, ma grosse...
- Mes chéris, on va lui faire un petit échauffement pour commencer !

- Madame ... Je ! ! !
Une magnifique Femme brune, la trentaine, habillée dans sa combinaison moulante en latex rouge venait
de s'adresser à deux magnifiques jeunes hommes de son âge qui, nus, exhibaient fièrement leur gros sexe,
regardez ces bittes de 20 cm était un plaisir pour moi,
vite gâché par la présence d'un fouet tenu en mains par chacun de ces messieurs

- Nadine ma chérie, viens te mettre en piste.
- De suite, Madame !

Le claquement dans le vide des deux fouets firent que je mis plus de temps à le dire
qu'à me rendre sur la piste en terre battue qui faisait le tour de la pièce.
J'évaluais la bande de terre à 1, 5 mètre de large pour( 2 X 7 + 2 X 3) environ 20 de long...
- Ma chérie, je veux te voir ravie de bien courir pour nous, d'accord ?
- Tes chaussures spéciales courses t'y aideront un peu, je pense...
- De plus, j'aurais grand plaisir à voir mes deux chéris t'encourager...
- Quand tu sera prête pour ton premier tour, dis le nous championne ?

les deux beaux mecs venaient de prendre position dans la pièce et
je compris que, n'importe où j'allais être sur la piste, un fouet pouvait m'atteindre...
Impossible d'échapper aux lanières vu ma tenue de sport et la vitesse très lente
qu'allaient m'imposée mes chaussures spéciales courses...
- Madame, je suis prête !!!
- Montres nous ce que tu vaux! Go.
Cela était trop beau, ils me laissèrent faire le tour de la piste sans intervenir...
La femme se contentant de branler ses chéris en leur roulant une pelle
à tour de rôle lors de mon passage à petite vitesse...
- Nadine, ton gros cul va recevoir les encouragements de mes deux chéris...
- Avoues que tu peux courir beaucoup plus vite, pas vrai ma grosse ?

- Je vais essayer... Je vous remercie de m'encourager, Madame !
C'est qu'à mon âge, on devient très diplomate...
J'en étais fière de l'avoir remerciée et de la voir satisfaite de mon obéissance ...
- Mes chéris, vous avez là une vraie championne! Encourager la à fond.
- Nadine, c'est quand tu ! Tu fais 2 tours à fond, compris ma chérie ?

- Compris Madame ! Aie !!!
- Bravo !!!
J'avais à peine fais deux pas qu'une lanière de cuir me cingla les fesses
me poussant à aller de l'avant bien plus vite au point ou j'avais cru un instant
que les félicitations de la dame m'étaient destinée mais très vite je compris
qu'elle encourageait ses chéris pour obtenir de moi une vitesse plus grande...
- Plus fort mes chéris, je veux un deuxième tour à fond...
- Vas y Nadine, remues toi grosse fainéante ! Plus vite !!!

- HiOUIiiii !!!
Croyez moi ou, pas mais je souffrais car tous les deux mètres
le cuir des chéris de la Dame me zébrait le postérieur...
Qu'étais venue faire dans cette galère ?
Obéir aux ordres de Jacques, mon Maître chéri...
- Bravo, Nadine !
- Madame, je suis ravie de vous faire plaisir !
Ne rigolez pas mais, j'avais le cul en feu, les pieds en Compote et les mollets raides...
J'étais fière, aussi, de m'en être bien sortie de ces deux tours de piste
- Une boisson énergisante, un remontant avant de recommencer ?
- Toute peine mérite récompense, tu en veux Nadine chérie ?

- Madame, c'est pas de refus ! Merci !!!
- Mon chéri, installes Nadine à notre table gourmande !
- Toi chéri, prépares mon jouet que je puisse la récompenser !
Un des homme vint me prendre par le téton droit et me força à le suivre au centre de la pièce...
il m'obligea à me pencher en avant sur un drôle de table..
.

Assuré que ma poitrine était bien dans le vide entre les deux planches,
le salop se mit à tourner les manivelles coinçant ainsi mes seins et du coup
j'étais prisonnière et obligée de garder la position...

- Cette table est géniale pour les gourmandes, tu vas adorer Nadine chérie !
- Après l'avoir encouragée, offres lui donc ta boisson énergisante !
- Equipes lui les seins avant elle sera plus aisée à servir, Chéri vas y !

Impossible de répondre à cette garce que je ne pouvais voir...
Sur mes tétons, la pose de grosses pinces crocodile équipées de chaînettes
assurait à son chéri une mise en bouche parfaite et totale de sa grosse et longue queue
qu'il fignolait par de petits coups secs sur mes seins qui je croyais allaient se déchirés...
Son gros gland était tout entier dans ma gorge ...

- Parfait mon chéri, je te l'avais bien dit...
- Tu vas pouvoir lui donner toute ton énergie sans perte !
- Mon chéri, prépares Nadine pour sa grosse récompense !

- Heueu !!!

Si j'avais failli m'étouffer ce n'est pas à cause de la grosse verge dans ma gorge ou
de celle, sans capote, du deuxième chéri que je sentais à la recherche de mon petit trou du cul mais à cause de
l'horrible et énorme phallus en latex porté par la Garce et qu'elle m'exhibait sadiquement...
Au moins 25 cm de long, le gland devait fair et 5 cm de long pour 10 de diamètre à sa base d'ou
partait une gros cylindre de 20 cm qui, à mie longueur, était bien plus gros que mon " Petit Suisse ",
Elle n'allait pas me prendre avec au cul... Impossible ? ? ?
- Ne lui graisse pas le cul, il y a de la vaseline pour cela...
- Gardes ta boisson énergisante pour cette grosse gourmande, mon chéri !
Le chéri de Dame se plaisait il dans mon cul ?
Toujours est il qu'il allait et venait longuement...
- Te retiens pas chéri, donnes toute ton énergie à notre championne !
Impossible d'imaginer qu'un homme puisse jouir une telle quantité de foutre...
Impossible pour moi de ne pas tout ingurgiter car il me gavait comme une oie,
son sperme giclait directement dans mon tube digestif, ponctué à chaque jet
par un étirement très mordants et douloureux pour mes tétons...
- Bravo mon chéri, Nadine te remercie pas vrai ma chérie ?
- Heu... Merci pour... !!!
- Ok ma chérie, tu en veux encore ? Cette fois, ce sera plus goûteux !!!
- Chéri, viens donc donner ta bonne énergie à notre championne !

- Ho, non !!!
- Ho que si ! Gares à ton gros cul, ma grosse...
- Qui va se faire une délicieuse pipe revigorante ?
Des traces plus que suspectes souillaient la queue du chéri qui m'avait ramonée l'anus...
Faut pas déconner, non plus !
La garce avait saisi les deux chaînettes et était passer derrière moi...
Elle n'allait pas ? non !
Pensez vous, je sentais le gland en latex forcer ma rondelle...
- Tu n'es pas cool... Mon chéri t'offre une boisson de championne...
- Toi qui es là pour nous faire jouir, tu fais la difficile... C'est pas juste !
- Réfléchis bien et dis moi ce que tu en penses, Nadine chérie ?

- C'est pas vrai !!! Non !! Je.... Madame ? ? ?
Le gros gland de son horrible phallus venait de forcer le passage de ma rosette...
Elle tirait comme une folle sur les chaînettes dont les pinces m'arrachaient les tétons,
comme pour être certaine que je ne puisse échapper à ma grosse récompense comme elle disait...
Elle allait me déchirer..

- Madame je ferai ce que vous voudrez !!!
- Avec plaisir, Nadine chérie ?
- Bien sur, Madame ! C'est un plaisir pour moi de souffrir pour vous...
- Chéri, donnes ta queue à notre vilaine Nadine !
- Elle va nettoyer ses cochonneries à la langue...

J'étais loin d'être enchantée de le nettoyer, à la langue qui plus est.
Mais dans mes reins je sentais forcer le latex...
Mes pauvres seins n'en pouvaient plus....
- Que c'est bon ! Ton cul a bon goût, ma grosse ?
- Réponds moi. Tu veux que je te le défonce ?

- Oui, il a ....Aieeeeeeeee !!!
- A ton service chérie !
La garce prétexta ne pas avoir compris ma réponse...
En attendant elle m'avait donnée deux terribles coups de reins projetant dans mon petit trou
écartelé comme jamais, l'horrible god dont elle se tenait prête en en user...
- C'est pas grave Maîtresse, si cela vous a fait plaisir...
- Je suis ici pour souffrir et être punie pour mon manque à gagner !

- Chéri, récompenses donc notre championne !
Le même et pareil que le premier chéri...
Lui aussi gicla généreusement dans ma gorge...
Un plaisir pour moi car mon cul fut libéré de son trop gros occupant...
Un des chéris me débarrassa des pinces tandis que l'autre libérait mes seins de la table...
- Hooua ! Merci, Madame !!!
- Tu as aimé le jus énergétique de mes chéris, Nadine ?
- Ils sont très généreux comme avec leur fouet ... regardes les !

- Je vous remercie des les avoir fait jouir pour moi, Maîtresse !
- J'ai souffert mais vous m'avez louée pour cela, alors ...
Mais quelle conne, elle regarda sa montre...
Quelle heure était il ?
- Il n'est que 2 H00, mes chéris ont l'air en forme !!! Tu dois leurs plaire !
- Puisque tu aimes ce sport, ça te dirait qu'ils jouissent encore pour toi ?

- Si vous le voulez, Maîtresse ! Moi, je vous obéirai...
- Mes chéris, vous avez dopé notre Nadine...
- Notre championne en voudrait encore de votre énergie !
- Elle est en tenue de sport, ce serait bête de ne pas lui en faire faire !!!
Les deux chéris à grosse bite avaient compris leur Maîtresse...
La garce les embrassa à tour de rôle en pleine bouche tout en les masturbant vivement à la main...
Les chéris en avaient la bite qui frétillait bien tendue et au gland rose gonflé mis à l'air
lorsqu'ils s'étaient faits masturber...
- Tu as déjà joué au petit train, Nadine chérie ?
- A la queue leu leu, ça va te plaire...

- Madame, vous m'avez louée pour vous obéir !
- C'est vrai, merci de me le rappeler Nadine chérie !
- Mes chéris vont te baiser, sans capote je préfère, pas toi ?

- Madame... si vous préférez ? Je suis d'accord, bien entendu !
J'étais pas pour... mais je n'avais point le choix.
Jacques n'avait il pas exigé un service à la personne comme pour lui ?
Donc le sans capote était prévu...
Je dus me pencher en avant pour prendre en bouche le gland d'un des chéris
qui me tenant par les seins qu'il prenait à pleines mains m'empêchait de tomber...
- Te voilà arrimée à la locomotive de tête, ma chérie...
- Maintenant la loco d'arrière train, Mon chéri arrimes toi.
Le chéri venait de m'enconner à fond sans préservatif et tenait aux hanches...
Bite en bouche et bite en chatte, vous parlez d'un drôle de train !
- On écoute bien le chef de train, mes chéris !
- Toi aussi, ma Nadine chérie !
Lorsqu'elle disait en avant, j'avançais...
Lorsqu'elle disait en arrière, je reculais...
Bien entendu ses chéris restaient en moi en marche avant comme en marche arrière...
Quelle salope !
Lorsqu'elle ordonnait de faire demi tour, je devais le faire mais seule...
les chéris restaient en place pour passer de ma bouche à mon sexe et vice versa...
- Demi tour, Nadine.
- Avoues que c'est bien meilleur sans capote, chérie ?
- C'est bon, Maît.....
Pas aisé de parler la bouche pleine d'autant que ce jeu m'épuisais
tout en m'excitant drôlement je l'avoue.
A la queue, leu leu....
- Demi tour ! On change de trou, encules la mon chéri !
- Cela va être encore meilleur, ma chérie ! Merci qui ?

- Maitresse, merci !!!
- En avant Nadine ! Pousses à fond, mon chéri !
Forcément que je redoutais le prochain demi tour bien plus que d'être sodomisée...
La grosse queue labourait profondément mon trou de merde et s'en imprégnait...
- En arrière ! Nadine encules toi bien... Pousses ! Prends la toute...
La salope s'amusait bien en chef de train...
Ne m'avait elle pas louée pour cela ?
Ses chéris étaient eux aussi ravis de jouer à la queue leu leu...
- Attention, je compte sur toi pour prendre mes chéris en toi, Nadine !
- Demi tour, pute.
Ne pas réfléchir et obéir.
Forcément, la garce tint à me prendre par les cheveux pour m'obliger
à prendre bien en bouche la bitte d'amarrage bien grasse de son chéri
en provenance du trou d'attelage de mon arrière train...
- Chéri, toi aussi en cul... Elle est là pour ça !!!
- Nadine préfère, cela a plus de goût !
Un jeu de merde !
Plus d'une longue heure... Interminable !
- Demi tour !
- Demi tour !
Je ne sais combien fois, la salope prit plaisir à me faire nettoyer
la queue de ses 2 chéris qui venait de m'enculer profondément...
J'en avais le tournis, si une queue propre dans mon cul de plus en plus gras oeuvrait,
Le chef de train veillait à ce que j'entretienne bien celle qui m'entrait en bouche...
A la queue leu leu !!!
Beurk !!!
Dégoûtée, écoeurée, plein d'amertume en bouche pour ne pas dire plus...
Pour tout vous dire, j'ai du vomir cinq fois au moins
et me suis levée je ne sais combien de fois pour me brosser les dents...
ASSURER UN SERVICE A LA PERSONNE...
A tout prendre, je sais pas si je préfère pas être dérouillée que ces jeux pervers...
Quota non atteint, le Vendredi soir
Je fus pendue au plafond tête en bas...
Je fus cravachée longuement comme jamais je ne l'avais été...
Malgré d'horrible souffrance, je trouvais que c'était bien fait pour moi,
j'avais qu'à gagner les 1500 € que m'avait fixés Jacques, mon Maître.
1er MAI : FÊTE du TRAVAIL !
Edwardo m'avait choisie cette tenue de Fête.

- Aujourd'hui, il est normal pour vous de travailler plus.
- 2000 euros est un minimum que j'attends de toi, Nadine ?

- Bien, Patron !

Le club a ouvert vers 17 Heures, mais malgré un temps de travail plus long
je vous laisse deviner le N° du BOX où je me suis retrouvée à 23 heures
non sans avoir vider les burnes d'Edwardo avant pour fêter cela...
PATRON ?
Si je suis rentrée exténuée, couverte de bleus, de traces de cravaches et de fouets
sans oublié les oedèmes causés par les piqûres d'aiguilles, j'en étais satisfaite...
Jacques, mon Maître chéri, semblait satisfait de mon job dans ce club...
Le BOSS avait assuré que j'y étais la bienvenue d'autant que j'avais des FANS qui
désiraient me revoir en BOX pour S'aMuser avec moi encore plus...
Je viens de rentrer mais j'en suis fière et même excitée d'attendre que
Jacques ordonne que j'y retourne pour lui prouver mon appartenance totale...
Souffrir pour lui serait il entrain de devenir mon plaisir ?







Ps :- Merci, Jacques!
Par nadinelaspebourgeoisesoumise.erog.fr
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